انطلاق عملية توزيع الأسمدة والبذور الخاصة بزراعة الشمندر
Betterave à sucre avec goutte à goutte au Maroc. Face à l'inaction des autorités locales, pourquoi ne pas prendre des initiatives locales pour produire de la betterave en Algérie et créer de petits ateliers de raffinage? La question est posée. Un grand bravo aux agriculteurs Marocains et aux ingénieurs.
Superbe champs de betteraves
Amine Chajié agriculteur sur 400 ha au Maroc
A 4 minutes sur cette vidéo, un champs de
betteraves à sucre. Pourquoi cela n'existe pas en Algérie?
إنتاج الشمندر بدكالة - Récolte de betterave Maroc
Remarquez la récolte manuelle. Les opérations peuvent être mécanisée.
Cosumar bénéficie d’une détente des prix sur le marché mondial
Publié le : 19 juin 2013 - Youssef Boufous, LE MATIN Maroc.
Cosumar-beneficie-dune-detente-des-prix-sur-le-marche-mondial.jpgSur le premier trimestre 2013, Cosumar a pu négocier un prix d’achat moyen en baisse de plus de 20%, par rapport à la même période en 2012. PH. DR
Le Maroc a payé moins cher ses achats en sucre brut sur le marché mondial. Cosumar, qui importe plus de la moitié des besoins nationaux, a donc bénéficié de la détente des cours mondiaux. Sur le premier trimestre 2013, le raffineur national a pu ainsi négocier un prix d’achat moyen en baisse de plus de 20%, par rapport à la même période en 2012. Soit mieux que la baisse apparente du marché mondial de 14%, selon le groupe. Cette tendance devra se poursuivre les prochains mois. Selon les estimations de l’Organisation internationale du sucre, la campagne 2013-2014 pourrait également connaitre un surplus de production pour la troisième année consécutive d’environ 6 millions de tonnes. Notre source à Cosumar explique que la situation tendrait néanmoins vers un équilibre entre la production et la consommation, et la phase excédentaire pourrait finalement toucher à sa fin lors de la campagne 2014-2015.
La baisse des cours sur le marché international est liée à une bonne prévision de production dans certains pays producteurs dont le Brésil, premier exportateur mondial. En effet, la production mondiale a enregistré un surplus pour la deuxième année consécutive qui s’est établi à près de 10 millions de tonnes de sucre en 2012-2013, soit un niveau de production de 182 millions de tonnes.
L’importante récolte brésilienne a inondé les marchés, tirant ainsi les prix vers le bas. À Londres, la tonne s’échange actuellement autour de 476 dollars. «Des niveaux qui n’avaient plus été observés depuis 2010», explique une source autorisée auprès de Cosumar.
Cette nette amélioration de la récolte est liée essentiellement aux conditions climatiques favorables au Brésil à la fois pendant la période de la poussée mais aussi depuis le début de la récolte où les usines ont atteint leurs totales capacités très rapidement sans perturbations climatiques. Le sucre extrait au Brésil dépasserait ainsi 37 millions de tonnes pour la campagne en cours.
Alléger la Caisse de compensation
La baisse de 20% des prix d’achats de Cosumar viendra alléger les dépenses en devises du Maroc, allouées à l’achat de sucre. Le niveau de subvention accordé au consommateur et supporté par la Caisse de compensation va également être revu à la baisse. Cosumar ne nous a pas fourni le détail des deux niveaux de baisses. En 2012, la subvention accordée par l’Etat au sucre a frôlé les 5 milliards de DH. Mais si l’actuelle campagne sucrière locale est bonne, les niveaux de subvention seront nettement moindres.
Pour cette année, les prévisions de la campagne sucrière font état d’une récolte de 400.000 tonnes, soit une progression de 40% par rapport à l’année précédente. «Cosumar, de par son rôle d’agrégateur de la filière, a pris toutes les dispositions nécessaires pour approvisionner les producteurs dans les meilleures conditions en intrants -semences, boutures, engrais et produits phytosanitaires- ainsi qu’en matériel agricole -semoirs, herses, bineuses...-. Et ce, afin d’assurer le traitement de cette production dans les meilleures conditions», affirme-t-on auprès du raffineur national.
Le programme initial des plantes sucrières tablait sur 52.000 ha pour cette campagne 2013 (la superficie agricole sucrière globale est de 90.000 ha répartie sur 5 régions : Doukkala, Gharb, Loukkos, Tadla, Moulouya). Aujourd’hui, la superficie récoltable est d’environ 48.000 ha. Ce chiffre est, selon Cosumar, en hausse de 25% par rapport à la campagne 2012. Ce niveau de réalisation a été cependant impacté par un «fort niveau de précipitations lors de la période des semis». Ces pluies ont empêché la réalisation de la totalité du programme notamment au Gharb et Loukkos. Selon Cosumar, le taux de couverture cette année sera de l’ordre de 30% (à peine 20% l’année dernière). Le reste sera importé, comme à l’accoutumée, pour subvenir aux besoins du marché local en progression régulière et qui devrait atteindre 1,27 million de tonnes en 2013. Le sucre, produit de première nécessité subventionné par l’Etat, est toujours importé à hauteur de 70%. Et ce, depuis les cinq dernières années.
1,2 million de tonnes de sucre traité
Selon des chiffres fournis par le raffineur, la production sucrière traitée à ce jour est d’environ 1,2 million de tonnes. Soit 50% de la production prévisionnelle. «Les résultats enregistrés sur le plan rendement, qualité technologique et revenu des agriculteurs sont plutôt satisfaisants», explique une source interne.
Rappelons que le nouveau contrat-programme pour la filière se donne pour horizon l’année 2020. Il prévoit d’étendre la superficie plantée en betterave à sucre à 66.500 ha et celle de la canne à 28.200 ha. Il ambitionne également d’améliorer le rendement à l’hectare qui devrait franchir un nouveau palier pour atteindre 12 tonnes à l’horizon 2020. La décision de l’Etat d’accorder une aide financière à la création de nouvelles plantations devrait encourager les agriculteurs à réaliser les objectifs de plantation prévus pour les cinq prochaines années. Il s’agit de planter 5.200 hectares par an.
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osumar bénéficie d’une détente des prix sur le marché mondial

Le Maroc a payé moins cher ses achats en sucre brut sur le marché mondial. Cosumar, qui importe plus de la moitié des besoins nationaux, a donc bénéficié de la détente des cours mondiaux. Sur le premier trimestre 2013, le raffineur national a pu ainsi négocier un prix d’achat moyen en baisse de plus de 20%, par rapport à la même période en 2012. Soit mieux que la baisse apparente du marché mondial de 14%, selon le groupe. Cette tendance devra se poursuivre les prochains mois. Selon les estimations de l’Organisation internationale du sucre, la campagne 2013-2014 pourrait également connaitre un surplus de production pour la troisième année consécutive d’environ 6 millions de tonnes. Notre source à Cosumar explique que la situation tendrait néanmoins vers un équilibre entre la production et la consommation, et la phase excédentaire pourrait finalement toucher à sa fin lors de la campagne 2014-2015.
La baisse des cours sur le marché international est liée à une bonne prévision de production dans certains pays producteurs dont le Brésil, premier exportateur mondial. En effet, la production
mondiale a enregistré un surplus pour la deuxième année consécutive qui s’est établi à près de 10 millions de tonnes de sucre en 2012-2013, soit un niveau de production de 182 millions de
tonnes.
L’importante récolte brésilienne a inondé les marchés, tirant ainsi les prix vers le bas. À Londres, la tonne s’échange actuellement autour de 476 dollars. «Des niveaux qui n’avaient plus été
observés depuis 2010», explique une source autorisée auprès de Cosumar.
Cette nette amélioration de la récolte est liée essentiellement aux conditions climatiques favorables au Brésil à la fois pendant la période de la poussée mais aussi depuis le début de la récolte où les usines ont atteint leurs totales capacités très rapidement sans perturbations climatiques. Le sucre extrait au Brésil dépasserait ainsi 37 millions de tonnes pour la campagne en cours.
Alléger la Caisse de compensation
La baisse de 20% des prix d’achats de Cosumar viendra alléger les dépenses en devises du Maroc, allouées à l’achat de sucre. Le niveau de subvention accordé au consommateur et supporté par la
Caisse de compensation va également être revu à la baisse. Cosumar ne nous a pas fourni le détail des deux niveaux de baisses. En 2012, la subvention accordée par l’Etat au sucre a frôlé les 5
milliards de DH. Mais si l’actuelle campagne sucrière locale est bonne, les niveaux de subvention seront nettement moindres.
Pour cette année, les prévisions de la campagne sucrière font état d’une récolte de 400.000 tonnes, soit une progression de 40% par rapport à l’année précédente. «Cosumar, de par son rôle
d’agrégateur de la filière, a pris toutes les dispositions nécessaires pour approvisionner les producteurs dans les meilleures conditions en intrants -semences, boutures, engrais et produits
phytosanitaires- ainsi qu’en matériel agricole -semoirs, herses, bineuses...-. Et ce, afin d’assurer le traitement de cette production dans les meilleures conditions», affirme-t-on auprès du
raffineur national.
Le programme initial des plantes sucrières tablait sur 52.000 ha pour cette campagne 2013 (la superficie agricole sucrière globale est de 90.000 ha répartie sur 5 régions : Doukkala, Gharb, Loukkos, Tadla, Moulouya). Aujourd’hui, la superficie récoltable est d’environ 48.000 ha. Ce chiffre est, selon Cosumar, en hausse de 25% par rapport à la campagne 2012. Ce niveau de réalisation a été cependant impacté par un «fort niveau de précipitations lors de la période des semis». Ces pluies ont empêché la réalisation de la totalité du programme notamment au Gharb et Loukkos. Selon Cosumar, le taux de couverture cette année sera de l’ordre de 30% (à peine 20% l’année dernière). Le reste sera importé, comme à l’accoutumée, pour subvenir aux besoins du marché local en progression régulière et qui devrait atteindre 1,27 million de tonnes en 2013. Le sucre, produit de première nécessité subventionné par l’Etat, est toujours importé à hauteur de 70%. Et ce, depuis les cinq dernières années.
1,2 million de tonnes de sucre traité
Selon des chiffres fournis par le raffineur, la production sucrière traitée à ce jour est d’environ 1,2 million de tonnes. Soit 50% de la production prévisionnelle. «Les résultats enregistrés sur
le plan rendement, qualité technologique et revenu des agriculteurs sont plutôt satisfaisants», explique une source interne.
Rappelons que le nouveau contrat-programme pour la filière se donne pour horizon l’année 2020. Il prévoit d’étendre la superficie plantée en betterave à sucre à 66.500 ha et celle de la canne à
28.200 ha. Il ambitionne également d’améliorer le rendement à l’hectare qui devrait franchir un nouveau palier pour atteindre 12 tonnes à l’horizon 2020. La décision de l’Etat d’accorder une aide
financière à la création de nouvelles plantations devrait encourager les agriculteurs à réaliser les objectifs de plantation prévus pour les cinq prochaines années. Il s’agit de planter 5.200
hectares par an.
osumar bénéficie d’une détente des prix sur le marché mondial

Le Maroc a payé moins cher ses achats en sucre brut sur le marché mondial. Cosumar, qui importe plus de la moitié des besoins nationaux, a donc bénéficié de la détente des cours mondiaux. Sur le premier trimestre 2013, le raffineur national a pu ainsi négocier un prix d’achat moyen en baisse de plus de 20%, par rapport à la même période en 2012. Soit mieux que la baisse apparente du marché mondial de 14%, selon le groupe. Cette tendance devra se poursuivre les prochains mois. Selon les estimations de l’Organisation internationale du sucre, la campagne 2013-2014 pourrait également connaitre un surplus de production pour la troisième année consécutive d’environ 6 millions de tonnes. Notre source à Cosumar explique que la situation tendrait néanmoins vers un équilibre entre la production et la consommation, et la phase excédentaire pourrait finalement toucher à sa fin lors de la campagne 2014-2015.
La baisse des cours sur le marché international est liée à une bonne prévision de production dans certains pays producteurs dont le Brésil, premier exportateur mondial. En effet, la production
mondiale a enregistré un surplus pour la deuxième année consécutive qui s’est établi à près de 10 millions de tonnes de sucre en 2012-2013, soit un niveau de production de 182 millions de
tonnes.
L’importante récolte brésilienne a inondé les marchés, tirant ainsi les prix vers le bas. À Londres, la tonne s’échange actuellement autour de 476 dollars. «Des niveaux qui n’avaient plus été
observés depuis 2010», explique une source autorisée auprès de Cosumar.
Cette nette amélioration de la récolte est liée essentiellement aux conditions climatiques favorables au Brésil à la fois pendant la période de la poussée mais aussi depuis le début de la récolte où les usines ont atteint leurs totales capacités très rapidement sans perturbations climatiques. Le sucre extrait au Brésil dépasserait ainsi 37 millions de tonnes pour la campagne en cours.
Alléger la Caisse de compensation
La baisse de 20% des prix d’achats de Cosumar viendra alléger les dépenses en devises du Maroc, allouées à l’achat de sucre. Le niveau de subvention accordé au consommateur et supporté par la
Caisse de compensation va également être revu à la baisse. Cosumar ne nous a pas fourni le détail des deux niveaux de baisses. En 2012, la subvention accordée par l’Etat au sucre a frôlé les 5
milliards de DH. Mais si l’actuelle campagne sucrière locale est bonne, les niveaux de subvention seront nettement moindres.
Pour cette année, les prévisions de la campagne sucrière font état d’une récolte de 400.000 tonnes, soit une progression de 40% par rapport à l’année précédente. «Cosumar, de par son rôle
d’agrégateur de la filière, a pris toutes les dispositions nécessaires pour approvisionner les producteurs dans les meilleures conditions en intrants -semences, boutures, engrais et produits
phytosanitaires- ainsi qu’en matériel agricole -semoirs, herses, bineuses...-. Et ce, afin d’assurer le traitement de cette production dans les meilleures conditions», affirme-t-on auprès du
raffineur national.
Le programme initial des plantes sucrières tablait sur 52.000 ha pour cette campagne 2013 (la superficie agricole sucrière globale est de 90.000 ha répartie sur 5 régions : Doukkala, Gharb, Loukkos, Tadla, Moulouya). Aujourd’hui, la superficie récoltable est d’environ 48.000 ha. Ce chiffre est, selon Cosumar, en hausse de 25% par rapport à la campagne 2012. Ce niveau de réalisation a été cependant impacté par un «fort niveau de précipitations lors de la période des semis». Ces pluies ont empêché la réalisation de la totalité du programme notamment au Gharb et Loukkos. Selon Cosumar, le taux de couverture cette année sera de l’ordre de 30% (à peine 20% l’année dernière). Le reste sera importé, comme à l’accoutumée, pour subvenir aux besoins du marché local en progression régulière et qui devrait atteindre 1,27 million de tonnes en 2013. Le sucre, produit de première nécessité subventionné par l’Etat, est toujours importé à hauteur de 70%. Et ce, depuis les cinq dernières années.
1,2 million de tonnes de sucre traité
Selon des chiffres fournis par le raffineur, la production sucrière traitée à ce jour est d’environ 1,2 million de tonnes. Soit 50% de la production prévisionnelle. «Les résultats enregistrés sur
le plan rendement, qualité technologique et revenu des agriculteurs sont plutôt satisfaisants», explique une source interne.
Rappelons que le nouveau contrat-programme pour la filière se donne pour horizon l’année 2020. Il prévoit d’étendre la superficie plantée en betterave à sucre à 66.500 ha et celle de la canne à
28.200 ha. Il ambitionne également d’améliorer le rendement à l’hectare qui devrait franchir un nouveau palier pour atteindre 12 tonnes à l’horizon 2020. La décision de l’Etat d’accorder une aide
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