إنتاج شتلات النخيل

Recueil d'articles sur le palmier-dattier.
Une sélection d'articles sur la culture du palmier-dattier.
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UNE NACELLE POUR LES PALMIERS DATTIERS

 

Seule vidéo trouvée sur le Net pour montré l'intérêt des nacelles élévatrices.

www.youtube.com/watch?v=gDsgl7rz74k

 

Nacelle MADE IN ALGERIA

Enfin, une nacelle produite localement.

Très intéressant dans les palmeraies.

Suggestion: en acheter plusieurs et créer

une société de location.

www.youtube.com/watch?v=9t6gkFKzgdY

 

BUSINESS INVESTIR DANS LA PRODUCTION DE PLANTS DE PALMIERS

D.B 28.07.14

Le reportage ci dessous réalisé au Maroc montre tout l'intérêt d'investir dans la profuction de plants de palmier in vitro. Cela nécessite un minimu de connaissances, mais pas de matériel hyper sophistiqué. Cette activité peut correspondre à un ingénieur qui a suivi cette spécialité. Sinon, pour un investisseur, il est toujours possible de recruter un ingénieur spécialisé en culture in vitro. Lire l'article de Usine Nouvelle.

 

L’or brun du désert, ou quand la datte du Maroc se met à l’heure de l’agri-business

Pierre-Olivier Rouaud L'Usine Nouvelle 19 janvier 2014

 

Aziz Akhannouch : "la bonne récolte de 2013 permet au secteur agricole d’investir dans les intrants et la mécanisation"

Quand la Banque Mondiale propulse le groupe volailler marocain Zalagh

Maroc : quels sont les points forts et les points faibles des exportations agroalimentaires ?

 

[ARTICLE PUBLIE LE 23-12 MISE A JOUR AVEC INTERVIEW AUDIO] Le Maroc veut partir à la reconquête de son marché de la datte dont il doit importer 30 000 tonnes tous les ans. Un vaste plan de développement dans la zone des oasis a été lancé depuis 4 ans à la fois pour soutenir l'agriculture traditionnelle mais aussi miser sur des exploitations intensives. Reportage au sud-est de l’Atlas marocain entre cultures millénaires, oued, oasis et séquenceur ADN.

 

Le deux pieds solidement plantés dans la terre ocre Smaïn Rachiddi est fier en montrant avec un large sourire les milliers de palmier-dattiers juvéniles qui s’étendent devant lui écrasés d’un soleil brulant. Nous sommes tout près de la ville d’Errachidia dans la région de Tafilalet dans l’est du Maroc à 300 km d’Ouarzazate et 50 km de la frontière algérienne.

 

Ici il y a deux ans, il n’y avait que du sable et des cailloux. Mais si tout va bien l’exploitation de Smaïn (photo ci-dessous)commencera à produire dans 4 ou 5 ans, avec à terme une récolte se chiffrant en centaines de tonnes. Pour l’instant, ce n’est qu’un bout de terrain en zone présaharienne sur un plateau quasi désertique de 26 hectares émaillé d’innombrables petits plants à trois ou quatre feuilles alignés en rang d’oignon.

 

Ceux-ci sont arrosés en goutte à goutte par d’interminables tuyaux noirs reliés au vaste réservoir dont les pompes vont chercher l’eau à près de 90 mètres sous terre dans une nappe phréatique alimentée par de rares et violentes pluies d’orage de l’année ou la fonte des neiges du Haut-Atlas. Une sorte d’exploitation modèle en devenir pour un investissement conséquent de 400 000 euros. Entrepreneur dans diverses affaires de négoce, Smaïn Rachiddi n’avait jusque-là pas vraiment la fibre agricole, mais il s’est dit qu’il y « avait là un bon business ».

 

D’autant que l’Etat l’a généreusement aidé à grand coup de subventions. C’est que le palmier dattier peut rapporter gros. Sur le marché de détail au Maroc, les meilleures variétés se vendent 110 dirhams par kilo (9 euros) et même jusqu’à 200 dirhams lors du Ramadan, la période de plus forte consommation. La datte mérite bien son surnom d’or brun du désert ! Mais le Maroc a un problème… Ses habitants consomment chaque année près de 150 000 tonnes de dattes, un business estimé à environ 200 millions d’euros.

 

Le souci ? La palmeraie ne produit que 120 000 tonnes de dattes par an, ce qui ne couvre pas la demande. Et le pays doit en importer 30 000 tonnes par an d’Algérie ou d’Arabie saoudite. Mauvais pour le commerce extérieur du royaume en lourd déficit. De plus l’offre est mal organisée et beaucoup de palmeraies restent exploitées dans une logique de simple cueillette selon le modèle millénaire des "trois étages » (palmiers, arbres fruitiers et cultures au sol), ce qui occasionne pertes et problèmes de qualité. Le marketing, quant à lui, au-delà de la simple mention « dattes du Maroc » est balbutiant. Enfin, une maladie qui dessèche les dattiers, le bayoud a ravagé une partie de la palmeraie marocaine ces dernières décennies.

 

Pour relancer la culture phoénicicole, vivifier l’économie des régions oasiennes et ainsi fixer sur place une part de la population, le royaume chérifien a lancé un vaste plan en 2011 pour booster la palmeraie.

 

« Dans le cadre du Plan Maroc vert, notre programme de développement agricole, l’Etat soutient cette culture. C’est une opération de reconquête. Le Maroc est le berceau historique d’une des meilleures variétés de dattes qui soit la Majhoul mais cette activité a été délaissée par le passé. Ce projet entre aussi dans la politique nationale de soutien aux régions semi désertiques notamment via l’Agence des zones oasiennes et de l’arganier (ANDZOA) réaffirmé ici même par le Souverain il y a quelque semaines. Cela représente un enjeu économique et social majeur pour les 1,4 million de marocains qui vivent dans les trois grandes zones d’oasis du royaume, soit 40% du territoire», nous explique Aziz Akhanouch, le ministre de l’Agriculture rencontré à Erfoud à l’occasion du quatrième « Festival international des dattes » qui se tenait dans cette ville début novembre.

 

L’Etat donc met le paquet via des subventions massives dans un programme pluriannuel qui se chiffrera à terme à plus de 100 millions d’euros. Il s’agit d’abord de soutenir les petits planteurs des oasis comme par exemple ceux de la vallée du Ziz, entre Errachidia et Erfoud. Recouverte de milliers de dattiers c’est une véritable « tranchée verte » au milieu du désert surplombé par des falaises orangées et qui serpente le long de l’oued du même nom le plus souvent à sec mais régulé en amont par un vaste barrage.

 

Conseil agricole, fourniture d’intrants ou de jeunes plants sélectionnés, travaux hydrauliques, agrégation de l’offre via des groupements de producteurs… ici comme ailleurs, toute une batterie d’aides sont peu à peu déployées. Le taux de subvention peut atteindre 100% pour ces paysans qui souvent ne possèdent que quelques dattiers dont la propriété, l’usufruit et le droit d’irrigation sont parfois détenus par des personnes différentes !

Le dattier ou Phoenix dactylifera se trouve en zone semi-aride de l’Atlantique africain à l’Inde. C’est une plante dioïque (il existe des pieds mâles et femelles) cultivée depuis la Haute antiquité. Le palmier dattier a été introduit dans les Amériques et fait notamment l’objet d'une culture intensive en Californie et en Arizona. Un palmier bien conduit et irrigué peut produire 80 à 100 kg de fruits par an. En culture extensive, la production s’élève de 20 à 30kg avec de fortes variations annuelles. La datte peut être consommée en l’état ou transformée en pâte, sirop ou confiture. Elle est aussi souvent utilisée comme fourrage pour les fruits les moins nobles par les éleveurs. La production mondiale est estimée à environ 8 millions de tonnes et est dominée par l'Egypte, l'Arabie saoudite et l'Iran.

 

Mais hormis l’amélioration de la palmeraie existante, l’Etat aide aussi au développement de grosses exploitations modernes sur le modèle de celle de Smaïn. Le Maroc compte 5 millions de palmiers dattiers, le 8ème rang mondial quand l’Arabie saoudite, le premier producteur de la planète en dénombre 21 millions.

 

Déjà 1 million de plants supplémentaires ont été mis en terre depuis le lancement du plan Maroc Vert en 2009. Aziz Akhanouch, ne veut pas s’arrêter là. « Notre objectif : 3 millions de plants en plus d’ici à 2020, soit une augmentation de 60% ». Avec notamment un objectif de 5 à 7 000 hectares de cultures intensives.

 

Un des rouages de ce projet se situe en amont, à savoir la production de plants. C’est, en effet, une des missions de l’INRA, l’Institut national de la recherche agronomique marocain et en particulier de sa station d’Errachidia. Abdelmalek Zirari (photo ci dessous), chef de ce centre nous explique « ici nous sélectionnons après collecte sur le terrain les variétés les plus productives ou appréciées comme le Mahjoul, mais il en existe des dizaines d’autres, en choisissant surtout des plants sains et issus de pieds mère productifs ». L’INRA d’Errachidia vient même de se doter d’un séquenceur ADN !

 

Ces plants sélectionnés, l’INRA les multiplie par clonage puis culture in vitro. Ces vitro-plants passés au stade in vivo (souches bourgeonnantes) sont ensuite le plus souvent vendus à la poignée de pépiniéristes certifiés du Maroc. Pour suivre la cadence, l'INRA d'Errachidia a investi dans l'extension de ses capacités pour 2,5 millions d'euros dans des salles de culture in vitro et autre salles d'ensemencement en surpression pour éviter les contaminations ainsi que dans une serre vitrée en cours de finition pour le "durcissement" des vitro-plants. Objectif passer de 20 000 souches mère produites par an à 45 000 d'ici 2015.

 

A coté de l'INRA, certains audacieux se lancent aussi dans la multiplication plus traditionnelles en pépinière à partir de rejets collectés sur des palmiers adultes sous le contrôle phytosanitaire des autorités. C’est le cas d’Abdelbar Belhassen.

 

Ce prospère entrepreneur agricole trentenaire est installé à une quinzaine de km d’Erfoud. A son actif, notamment un élevage de chamelles laitières mais surtout une palmeraie intensive créé ex-nihilo voilà 5 ans sur plus de 90 hectares et doté de son propre système d’irrigation à quoi s’ajoute une vaste pépinière. Celle-ci sert bien sûr aux besoins propres de l’exploitation mais l’essentiel est vendu… à l’Etat.

 

L'administration acquiert en effet les plants sains et certifiés pour les distribuer aux petits planteurs ou aux grosses exploitations. Un bon business, l’Etat paye la plupart des plants 600 dirhams pièce (55 euros) et la pépinière peut en produire jusqu'à 10 000 par an… Quant à la palmeraie du "Domaine Belhassen", suivie au petit soin, avec travail du sol régulier, fertilisation et arrosage contrôlés par automatismes, elle commence à produire. Et déjà une extension est en route.

Bref, la générosité de l’Etat à tous les stades de la filière a suscité bien des vocations. Ainsi le groupe Benjelloun s’active sur un projet intégré intensif de 350 hectares de palmiers à Boudnib, à l’est d’Errachidia (interview audio ci-dessous). Et d’autres investisseurs agricoles venus d’Agadir notamment s’intéresseraient aussi de près à la région du Tafilalet. Spécialisé dans les agrumes, certains ont dû, dans leur région, renoncer à l’extension de leur orangeraies pour cause de conflits et restrictions sur l’usage de l’eau. Et ils ont compris qu’après l’orange, ils pourraient peut être passer à l’or brun.

 

A Erfoud, Pierre-Olivier Rouaud

 

Elle est flambant neuve et a été inaugurée par le ministre de l’agriculture Aziz Akhanouch, à l’occasion du Festival international des dattes à Erfoud fin novembre. Situé à quelques km de cette ville, la petite usine de conditionnement d'Erfoud de 1 500 m2 est posée telle une boite blanche et bleue sur le désert. Gérée par des coopératives et des groupements de producteurs, sa mission est de rationnaliser et mieux qualifier l’offre locale dans le cadre de programme de développement mené avec le support, notamment, de la coopération belge. Et de favoriser le travail des femmes rurales. A l’intérieur une dizaine de femmes en blouse blanche, coiffées d’une charlotte trient et calibrent les dattes qui défilent sur un tapis roulant avant de les peser et les ranger soigneusement dans des boites, puis de les stocker dans la chambre frigorifique. Alors que la période de récolte bat son plein, les fruits traitées ici viennent des palmeraies traditionnelles des alentours amenées à dos d’âne, par carriole à cheval, motos ou camionnettes. Des unités comme celle d’Erfoud le Maroc en compte 21 aujourd’hui disséminées sur la zone des oasis. Chacune a nécessité un investissement environ 1,2 million d’euros financé par des fonds américain de coopération (Millenium challenge) pour sept d’entre elles et le ministère marocain de l’agriculture pour les autres.

 

TOZEUR FERTILISATION PALMIER DATTIER.MOV -

www.youtube.com/watch?v=fqDL3poCxeU

Produits du palmier dattier
Un moyen d'assurer la sécurité alimentaire en zones sahariennes 

30 déc. 2012 Eco News
Un produit qui gagnerait à être exporté

 

 

La phoeniciculture est l'une des cultures qui pourront contribuer à assurer la sécurité alimentaire, au moins dans les zones sahariennes où le dattier constitue la culture de base a indiqué Mme Souad Babahani, chef de l’équipe productions végétales de la palmeraie du laboratoire de recherche « Bio ressources sahariennes, préservation et Valorisation. »

Cette responsable de la Filière Agronomie a affirmé que :« Le dattier nous donne les dattes, utilisées comme aliment pour l'homme et parfois même pour l'animal. Donc il est contribue à l'augmentation des revenus des agriculteurs, des commerçants, des exportateurs et des transformateurs. »

Plusieurs produits et sous produits a-t-elle expliqué, sont élaborés à base de dattes et du dattier. « Ces produits contribuent donc à l'élévation du niveau social des populations qui le cultivent.  La plupart de ces produits et sous produits sont restés à l'état primitif en Algérie. »

La valorisation des dattes et des autres produits du dattier a-t-elle estimé, reste toujours possible si le développement technique en matière de technologie alimentaire est assuré. « L'appel à l'expérience des autres pays, surtout arabes, dans ce domaine pourrait accélérer ce développement puisque l'Algérie possède une diversité très importante qui arrive à plus d'un millier de cultivars ; d’où uniquement cinq cultivars, à leur tête la Deglet Nour, sont valorisés.

En effet à partir de ce produit on peut produire entre autre  pâte de dattes, la farine de dattes, des dattes fourrées, des dattes au sirop, du miel, du sirop et des jus des dattes ou boissons non alcoolisées, du sucre liquide ; mais également de l'acide citrique, des levures boulangère, alimentaire et fourragère, du vinaigre et de l'alcool médical, etc.

Mme Babahan a souligné par ailleurs que même les graines sont valorisées puisqu'elles entrent dans certaines industries entre autre la fabrication des huiles, du café et des aliments de bétail. Elle ci a rappelé que les importations en thé et café par exemple, ont été évaluées à 120 millions de dollars en 2010.

La phoeniciculture, a-t-elle précisé, avec toutes ses activités, engendre des revenus très intéressants en dépit de tous les problèmes que vit ce secteur, dont l’absence de gestion et surtout de coordination entre les structures qui gèrent le secteur. « En effet, les dattes restent parmi les rares produits agricoles exportés. « L’Algérie produit plus de 600.000 tonnes et exporte, ces dernières années, entre 13000 à 15000 tonnes ; soient des revenus qui varient entre 20.000 à 25.000 millions de dollars »

Ce produit a-t-elle assuré,  pourra être développé à travers sa diversification, dont des produits qui assureront la sécurité alimentaire des phoeniciculteurs et autres citoyens. « Dans ce sillage  il est utile de  penser à faire connaître les autres cultivars dans les marchés mondiaux, développer les différentes catégories de dattes Deglet Nour, y compris la commercialisation des dattes dénoyautées.

Mohamed K. A

 

2 - CULTURE IN VITRO SUR PALMIER DATTIER AU MAROC.

 

Laboratoire National de Culture de Tissus du Palmier

www.youtube.com/watch?v=zuZdu3Vz-YY
14 nov. 2011 - Ajouté par INRAMaroc
| Laboratoire National du Palmier Dattier à Errchidia Maroc

 

مختبر الزراعة النسيجية - عُمان‬‎

www.youtube.com/watch?v=F2arSGrAB_g

 

Suite Vidéo Oman:   http://youtu.be/AOmn6FIaX7k

 

 

INNOVATIONS.

Programme d'aide à la valorisation des dattes et de leurs sous produits

 

Valorisation qualitative et commerciale par traitement thermique dans les fours à désinsectisation ;

Valorisation des sous-produits des dattes par broyage pour la production de farines destinées à l'alimentation animale.

 

Au début de l'année 1990, M. GONET a conçu avec les chercheurs de l'INRA de Marrakech, un four thermique où les dattes exposées durant deux heures à des températures comprises entre 60 et 70°C, sortent indemnes de toutes infestations "véreuses".
 
En effet la pyrale (Myéloïs), papillon nocturne, pond ses œufs sous l'épiderme de la datte, soit avant la récolteen palmeraie, soit durant le stockage des fruits. Ces œufs se développent en larves (chenilles) qui déprécient la qualité des fruits et donc leur prix de commercialisation. Seules les dattes de bonne qualité font l'objet de ce traitement à la chaleur qui a pour effet de détruire les œufs pondus par le papillon. Chaque unité de désinsectisation permet de traiter 150 à 200 kg de dattes toutes les 2 heures. Afin d'éviter tout risque de recontamination lors du stockage, les dattes, immédiatement après leur passage dans le four, sont mises en sachets plastique de 1 à 2 kg à l'aide d'une ensacheuse qui assure, sous vide partiel, la fermeture hermétique des sachets. Ainsi protégées, elles se conservent plusieurs mois dans de parfaites conditions d'hygiène, ce qui n'est pas le cas des dattes commercialisées en vrac aux souks locaux.

Actuellement une vingtaine d’unités équipent les associations de producteurs non seulement dans la Province de TATA mais aussi dans les autres provinces de la région (ZAGORA, OUARZAZATE, ERRACHIDIA et FIGUIG).

 

Dans le cadre des efforts entrepris pour valoriser les sous-produits de la datte, l'ALCESDAM finance à hauteur de 50% l'achat de broyeurs de noyaux et de déchets de dattes qui, réduits en farine à haute valeur énergétique, est destinée à l'alimentation animale. Ces sous-produits étaient jusqu'alors peu ou mal valorisés.

 
 

L'ALCESDAM a doté une dizaine de coopératives et de groupements ruraux de pollinisateurs mécaniques afin d'améliorer la pollinisation des palmiers femelles et de réduire la pénibilité de cette opération. Ces perches télescopiques en aluminium sont capables de déposer un nuage de pollen à des hauteurs variables de 8 à 12 m sur les inflorescences femelles. L'ALCESDAM a également distribué aux bénéficiaires des échelles en aluminium et des ceintures de sécurité afin d'améliorer et de sécuriser le travail de la récolte des régimes de dattes.

 

 

 

Haut de la page

 
   
ALCESDAM -2006-    

 

 

 

Produits dérivés du palmier dattier à Biskra

un salon pour tous les goûts

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le 07.10.13 El Watan

 Le palmier dattier est un végétal miraculeux aux multiples facettes.
| © El Watan
Le palmier dattier est un végétal miraculeux aux multiples...
 

Les nombreux visiteurs ont découvert une formidable gamme de produits de large consommation dérivés du palmier dattier qui n’offre manifestement pas que des dattes.

Depuis le début du mois, la Maison de l’artisanat abrite la 3e édition du salon des produits dérivés du palmier dattier. (...)

 

Outre des dattes de différentes variétés consommables en l’état, on extrait de celles-ci et du  palmier dattier, des carburants, de l’alcool chirurgical, du vinaigre, de la farine, du miel, des huiles comestibles ou dermiques, du café, des jus, des pommades, du khôl, des laxatifs, du chocolat, du sucre, de la confiture, des shampoings, des aliments pour le bétail et bien d’autres produits et denrées. Considérés comme des déchets que l’on jetait ou au mieux que l’on donnait aux chèvres en guise de complément alimentaire, les seuls noyaux de dattes sont la matière première d’une myriade de produits. «El Mouhit», société de transformation et de conditionnement de produits organiques, basée à Constantine, a connu un véritable succès, lors de ce salon, en présentant 4 produits élaborés à partir de noyaux de dattes : du savon, une huile capillaire, une pommade dermique et du café.

Cette Sarl dirigée par Ammar Khennaoui, employant 11 personnes, ne compte pas s’arrêter là. Elle poursuit ses études, ses analyses et ses expériences pour développer les processus de fabrication d’une vingtaine d’autres produits essentiellement à base de noyaux de dattes. «Nous exploitons les noyaux de dattes depuis plus de 4 ans car c’est une matière première nationale ayant des valeurs nutritionnelles et des propriétés thérapeutiques élevées. Les noyaux de dattes peuvent être utilisés dans le secteur agroalimentaire, dans celui des cosmétiques, de la droguerie, de la pharmacie et dans celui de l’alimentation du bétail. Selon nos estimations, nous avons besoin de 20 à 30 000 tonnes de noyaux de dattes par an», confiera-t-il.

  (...) En attendant, si vous mangez une poignée de dattes, n’oubliez pas que leurs noyaux sont des pépites d’or à ne pas jeter.                    

Hafedh Moussaoui

Grimpeurs de palmiers

**Manque de main d’oeuvre dans le secteur de la datte dans la wilaya de Biskra

 

Grimpeurs de palmiers, trieurs de dattes et autres travailleurs aux champs sont des métiers qui se raréfient à Biskra, où le manque de main d »uvre agricole est devenu un véritable casse-tête pour les producteurs, au point où certains songent à délocaliser une partie de leurs activités vers d’autres pays.
En passe de devenir un grand pôle agricole, la wilaya de Biskra fait face cependant à  »un important déficit de main d »uvre touchant toutes les filières » agricoles, affirme Salim Haddoud, producteur et exportateur de dattes de la région de Tolga.
« Moi-même j’ai un déficit de 150 ouvrières pour faire le tri et le conditionnement de dattes », a-t-il confié à l’APS, révélant un projet de délocalisation d’une partie de sa production au Sri Lanka, une première du genre en Algérie.
Ce projet devrait aider cet opérateur à accélérer la cadence du travail pour satisfaire la forte demande en prévision du mois de Ramadhan prochain, connu pour être une période où la consommation de dattes enregistre un  »pic ».
« J’ai fait mes calculs : si je continue à travailler avec la main d »uvre actuelle je ne pourrai jamais satisfaire mes commandes à l’export », a-t-il dit.

 

Pour honorer ses engagements vis-à-vis de ses clients étrangers, l’entreprise Haddoud devrait traiter 20 tonnes par jour, alors qu’elle ne traite actuellement que 4 tonnes/jour par manque d’ouvrières.
Les unités de conditionnement de dattes emploient de la main d »uvre féminine choisie généralement pour son doigté, sa technicité et sa rapidité dans le travail.
Le nombre croissant des unités de conditionnement à Tolga ne fait qu’aggraver le problème, indique pour sa part Zendagui Ali, producteur et exportateur de dattes qui n’arrive pas à trouver de solution à cette « immense » contrainte.
« Les opérateurs sont en train de réfléchir à des délocalisations vers des pays étrangers, alors que d’autres pensent à fermer carrément leurs usines », a-t-il regretté.
Ce producteur a été contraint de transférer une partie de sa production à Ouled Jellal, une commune distante de 50 kilomètres de Tolga, pour faire le tri des dattes à domicile « parce que les femmes préfèrent travailler chez-elles que d’aller à l’usine », explique-t-il.

 

M. Zendagui dit avoir « gros sur le c’ur » parce qu’il craint de ne pas satisfaire les commandes, en plus des risques qu’il encourt par rapport au manque d’hygiène, puisqu’il ne peut pas entrer dans les maisons pour superviser le travail des femmes qui font le tri des dattes.
« Pour des considérations socioculturelles, un homme étranger ne peut pas pénétrer à l’intérieur de leurs maisons », a-t-il soutenu.
Pour réduire les dégâts, répondre aux demandes qui s’accumulent et faire face à la concurrence farouche des autres pays, M. Zendagui compte ainsi ouvrir une unité de conditionnement à Ouled Jellal.
Il demande également de pouvoir louer, avec les autres conditionneurs de dattes, les locaux de l’ex-Office national des fruits et légumes d’Algérie (OFLA) d’Alger, pour recruter une main d’oeuvre sur place dans la capitale et être proche des lieux d’embarquement des expéditions de dattes algériennes.
La raréfaction de grimpeurs de palmier dattier fait aussi parler d’elle à Tolga et dans les autres régions où des milliers de grappes de dattes demeurent longtemps suspendues aux arbres, retardant la cueillette et induisant un impact négatif sur la qualité du produit.
« L’assèchement des dattes par les fortes chaleurs de l’été dernier s’est accentué par ce qu’il n’y a pas assez de grimpeurs pour arracher les dattes à temps », a affirmé M. Haddoud.
Certains producteurs songent déjà à introduire des récolteuses de dattes pour pallier le manque de grimpeurs, ce métier ancestral qui est en voie de disparition, au moment où le patrimoine phoénicicole national ne cesse de croître.*APS-03.01.2013.

**Profession : grimpeur de palmiers

Elément-clé des pratiques culturales dans les oasis sahariennes, le métier de « grimpeur de palmiers » pour la cueillette des dattes et l’entretien de l’arbre est aujourd’hui l’apanage d’un cercle de plus en plus restreint de personnes, le plus souvent du troisième âge.
Ce savoir-faire, indispensable dans toute palmeraie, est ainsi menacé de disparition. Sur le banc des accusés face à cette désaffection quasi générale : les conditions de travail et d’emploi, notamment la faiblesse des rémunérations, pour un métier réputé particulièrement dur et nécessitant une main-d’œuvre jeune, robuste et plutôt qualifiée. « Ce métier, nécessaire pour la sauvegarde du palmier-dattier, est des plus harassants car il implique plusieurs tâches à la fois, allant des traitements phytosanitaires à la coupe des palmes sèches, en passant par l’arrachage du « if » et des restes des hampes florales », explique A. El Hadj, un vieux phœniciculteur de Metlili, tout en taillant la base de l’arbre. « Déjà qu’il faut être capable, physiquement, d’ « escalader » un palmier jusqu’à sa plus haute cime avec, sur le dos et les épaules, un lourd attirail composé d’une tronçonneuse, d’une scie et autres », renchérit-il. Mais le « grimpeur » ne fait pas que grimper, à chaque fin de récolte automnale, dès l’arrivée du printemps, il s’occupera aussi du choix et de la récolte du pollen mâle (dokkar) et de l’opération de pollinisation du palmier femelle, un acte hautement significatif et révélateur de la fécondité de l’arbre, ajoute ce connaisseur. « La fécondation du palmier, dit-il, est pratiquée, encore aujourd’hui, à la manière traditionnelle et seul un grimpeur expérimenté est apte à introduire les épillets de pollen. » De son côté, Cheikh Ishak de Ghardaïa précise que le grimpeur s’occupe aussi du ciselage des régimes de dattes et de l’étayage, une intervention délicate qui consiste à caler les régimes et à les consolider sur des palmes. Et le cheikh de regretter à son tour la difficulté de trouver de la main-d’oeuvre pour cette activité vitale pour le devenir de la phœniciculture.
« Quasiment inexistantes à Ghardaïa, les personnes prêtes à exercer ce métier sont souvent ramenées de lointaines contrées de la wilaya d’Adrar, notamment de Touat et de Gourara », confie-t-il. Un professionnel de la région du M’zab fait savoir, pour sa part, que la profession est reconnue comme étant dangereuse et à haut risque, mais « n’est pas prise en charge par les assureurs car ne figurant pas dans la nomenclature des accidents de travail ». Résultat : « Le jour de la récolte, il est rare de trouver un grimpeur pour cueillir les fruits, notamment pour le grappillage », disent en chœur les phœniciculteurs de la région. Le grappillage consiste à cueillir (début juillet) les dattes précoces à moitié mûres, appelées ici « M’naguer » et très prisées par la population qui les acquiert au prix fort, tout en faisant attention à ne pas altérer l’intégrité des régimes de dattes. La récolte elle-même de régimes entiers, notamment celle de dattes de premier choix telles que la fameuse « deglet nour », se fait par des grimpeurs qualifiés qui s’interdisent de « balancer » le régime de fruits du haut de l’arbre mais le font glisser jusqu’au sol en usant de techniques simples mais singulières. Côté idées de sortie de crise, plusieurs phœniciculteurs de la région préconisent, outre l’amélioration des conditions de travail et du niveau social des « grimpeurs », la formation et la vulgarisation des techniques de gestion des palmeraies ou encore le recours à des moyens plus substantiels pour la cueillette -sans risques- des dattes, telles que les nacelles hydrauliques. Plus généralement, les observateurs considèrent que la déperdition, somme toute relative, des métiers de l’agriculture oasienne locale résulte des mutations socioéconomiques qui s’opèrent rapidement, du vieillissement de la main-d’oeuvre et de la dévalorisation du travail de la palmeraie en tant qu’entité de production agricole comme une autre. C’est ainsi et pas autrement, dit-on, que le métier de grimpeur de palmiers pourra perpétuer les techniques ancestrales si chères aux habitants des zones sahariennes et si précieuses pour la préservation du palmier et de son fruit sacré.*APS-11.08.2009.

**Youcef Ichar sacré meilleur grimpeur de palmier-dattier

BISKRA – Youcef Ichar, originaire de Biskra a décroché mardi le premier prix du concours national du meilleur grimpeur de palmier-dattier organisé à Biskra en marge du 7ème Sud’Agral (salon de l’agriculture saharienne et steppique).
La compétition s’est déroulée dans une oasis située dans les alentours de la capitale des Ziban avec la participation de 20 candidats représentant les wilayas de Ghardaïa, d’El Oued, de Ouargla et de Biskra.
La seconde place du concours est revenue au jeune Azzedine Teffa et la troisième à Khelil Seddam, tous deux originaires de Biskra.
Ce concours a été organisé conjointement par l’entreprise organisatrice du 7ème Sud’Agral, et l’institut technique pour le développement de l’agriculture saharienne.
Une cérémonie a été organisée en l’honneur des vainqueurs des trois premières places qui se sont vus décerner des certificats d’honneur assortis de primes allant de 3.000 à 10.000 dinars.*APS-21.12.2011.


 

Touggourt

La mécanisation de la pollinisation du palmier en question

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le 29.12.13 El Watan

Le centre régional de formation en vulgarisation agricole de Touggourt vient de clôturer une formation de deux jours sur la thématique de la mécanisation de la pollinisation du palmier dattier à laquelle ont pris part des agriculteurs des wilayas de Ouargla, Ghardaïa, Biskra, El Oued et Illizi.

Outre les cours théoriques dispensés par Hocine Benhafid, ingénieur en agronomie saharienne au sein de l’Institut technique de développement de l’agronomie saharienne (ITDAS) de Aïn Ben Naoui à Biskra, la formation a été surtout axée sur la pratique sur le terrain de la pollinisation au niveau de l’une des fermes expérimentales du centre. L’importance que revêt cette formation aux techniques de la pollinisation n’est pas tant pour rappeler aux agriculteurs le principe de base, à savoir que la pollinisation des palmiers dattiers par l’intermédiaire du vent reste insuffisante pour assurer une récolte correcte et régulière de ses fruits.

Le recours à la pollinisation artificielle par l’homme étant de mise aux mois de mars et d’avril de chaque année, cette opération est donc le pivot de la culture phoenicicole, d’où l’importance de sa maîtrise et les enjeux colossaux de l’introduction d’une semi-mécanisation voire une mécanisation selon la morphologie de la parcelle à traiter. Comme les fleurs mâles et femelles se trouvent sur des arbres différents et que chaque arbre mâle possède plus d’une dizaine d’inflorescences, chacune pouvant contenir 30 à 60 millions de grains de pollen,
la  pollinisation artificielle pratiquée depuis des temps immémoriaux consiste en la coupe de la branche porteuse de pollen au sommet du palmier mâle qui est ensuite secoué au sommet du palmier femelle, le branchage est ensuite laissé sur le palmier femelle afin que le vent complète cette fécondation artificielle.

Pour la pollinisation semi-mécanisée, le formateur a tenu à souligner que l’irrégularité des plantations est une entrave de taille dans les anciennes palmeraies et celles ne respectant pas les distances entre les pieds de palmiers d’où l’adéquation de cette technique à la plupart des palmeraies de la région par rapport à la pollinisation mécanique à 100% qui reste l’apanage des grandes exploitations modernes. La technique semi-mécanique consiste en un poudrage à partir du sol à l’aide d’un pollinisateur manuel tel qu’utilisé dans la lutte anti-Boufaroua, tandis que la pollinisation mécanique à l’aide de machines de traitement des pesticides, des lances mécaniques simples, remorquées ou tractées avec un moteur reste l’objectif à atteindre et un des défis de la palmeraie algérienne qui doit absolument se soumettre à une modernisation inextricable afin de réduire les coût de l’opération en matière de main-d’œuvre dont le savoir-faire est en déperdition, surtout avec les risques encourus par les grimpeurs de hauts palmiers et surtout assurer un rendement nettement plus élevé par rapport à la pollinisation manuelle traditionnelle.

Chérif Ahmadou

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