Un bilan de 60 ans de lutte contre l'érosion au Maghreb.
BrochureRoose60ans.pdf
Document Adobe Acrobat [491.5 KB]
Une synthèse de travaux d'experts relatifs à la lutte contre le ravinement par des moyens simples.
BrochureRavinementT2.odt
Editeur Open Office [1.3 MB]
Un dossier sur les questions d'érosion en Algérie.
LivreErosion.pdf
Document Adobe Acrobat [871.5 KB]
L'érosion des sols en Algérie.
L'érosion peut être hydraulique ou éolienne.
E R O S I O N H Y D R A U L I Q U E
ALGERIE, DEVELOPPER LES BANDES ENHERBEES
D. BELAID 27.09.2014
L'érosion hydraulique est un mal qui ronge les terres agricoles, notamment au niveau des pentes. L'installation de « bandes enherbées » peut être un moyen de freiner le ruissellement des eaux de pluie et la pollution de l'eau. Cette méthode se développe en Europe. En France, les ingénieurs d'Arvalis la propose aux agriculteurs. Cette solution est inconnue en Algérie. Elle mériterait d'y être adaptée et développée même si de nombreux obstacles existent. A partir de l'expérience développée par des ingénieurs et agriculteurs français nous nous proposons d'examiner les conditions d'une telle stratégie dans le cas algérien.
LES OBJECTIFS DE LA MISE EN PLACE DUNE BANDE ENHERBEE
Selon Arvalis « La mise en place d’une bande enherbée en aval de la parcelle est une solution efficace pour limiter les pollutions diffuses par les produits phytosanitaires. Il permet de capter les eaux de ruissellement et les embruns de dérive de pulvérisation, puis de les épurer avant qu’elles ne gagnent les cours d’eau.
Lors de l’épandage de produits phytosanitaires au champ, plusieurs facteurs influencent le transfert des matières actives vers les eaux de surface. Les phénomènes de battance ou de tassement du sol empêchent ou limitent fortement l’infiltration de l’eau et favorisent les ruissellements érosifs en surface. Ces eaux sont également susceptibles d’entraîner des produits phytosanitaires hors de la parcelle, avant qu’ils aient pu être dégradés. Le ruissellement érosif est fréquemment observé dans les sols limoneux, en particulier dans les parcelles en pente. Les pollutions diffuses des eaux de surface peuvent provenir également des embruns de dérive pulvérisation.
Pour limiter ces transferts, l’implantation d’une zone tampon, haie ou bande enherbée, s’avère un dispositif efficace. Elle permet de limiter l’érosion et de capter les embruns de dérive de pulvérisation tout en ralentissant et en épurant les eaux de ruissellement. Les substances phytosanitaires sont dégradées dans ce milieu non perturbé où règne une forte activité biologique. Un diagnostic terrain préalable est nécessaire avant l’installation pour garantir la bonne efficacité du dispositif ».
UNE LEGISLATION A METTRE EN PLACE
En Algérie, une politique de mise en place de bandes enherbées pourrait s'articuler autour de deux objectifs: réduction du ruissellement des eaux de pluies et protection contre la pollution d'origine agricole (phytosanitaires et nitrates). Une telle politique pourrait viser avant tout les bassins versants des barrages et les zones de captages d'eau.
Afin de favoriser une meilleure infiltration des eaux de pluies les bandes enherbées sont plus faciles de mise en place que des haies. En effet, les opérations de préparation du lit de semences et de semis sont mécanisées. Reste un obstacle de taille: la présence de troupeaux d'ovins et de caprins avec le risque de pâturage abusif et de destruction du couvert végétal. On peut se demander si dans les conditions locales et selon les étages bio-climatiques, il ne serait pas souhaitable d'adjoindre aux espèces herbacées des arbustes fourragers (acacias, atriplex, …).
Selon le type de sol, la pente et le régime des pluies les caractéristiques (largeur, nombre) de telles bandes doivent être définies. Cela peut être la tâche des instituts techniques spécialisés dépendants du MADR. L'INRF dispose par exemple d'une expertise en matière de lutte contre le ravinement.
Des bureaux d'études pourraient définir la taille et l'emplacement de ces bandes pour toute exploitation demandant à bénéficier de subventions agricoles.
LE CHOIX DES ESPECES
Dans les conditions françaises, les spécialistes d'Arvalis recommandent différentes espèces en fonction du milieu. « Le mélange d’une espèce gazonnante (ray-grass, fétuque rouge) avec une espèce à croissance lente, formant des touffes (fétuque élevée, dactyle) est un bon compromis pour une installation rapide tout en favorisant la biodiversité et la pérennité du couvert. Les ray-grass italiens et hybrides sont à éviter car ce sont des espèces invasives. Privilégiez des variétés tardives à montaison pour retarder la fauche et le broyage ».
Préconisations d'Arvalis:
Zones fréquemment inondées: Fétuque élevée, fétuque des prés , fléole, trèfle hybride
Sols séchants: Dactyle, fétuque élevée, lotier
Sols sableux superficiels: Fétuque rouge
Sols profonds: Ray-grass anglais
Dans le cas algérien, on se rapprochera des ingénieurs de la station ITGC locale pour un choix approprié d'espèces. Dans les conditions locale l'utilisation d'espèces herbacées tropicales est à envisager. Les travaux du Cirad (France) sont à ce sujet intéressants à consulter. Des spécialistes tels Lucien SEGUY recommandent ainsi dans des rapports de mission actuellement en ligne ce type d'espèces afin d'assurer la protection des sols par un fort tapis racinaire. Ce genre d'approche est en cours d'essais en Tunisie.
L’IMPLANTATION D'UNE BANDE ENHERBEE
L'implantation d'une bande enherbée répond à un cahier des charge précis. Ainsi, en France « au-delà des contraintes réglementaires, variables selon les départements, il faut adapter la localisation et la largeur au phénomène ciblé (intensité du ruissellement, dérive …). Il est recommandé d’implanter les couverts le long des éléments fixes du paysage, cours d’eau, routes, chemins. Le positionnement en bordure d’un point d’eau ou d’un fossé permet de le protéger de la dérive des embruns de pulvérisation ».
« Toutefois, lorsque la surface amont est importante, il peut être nécessaire d’implanter une zone tampon intermédiaire en milieu de parcelle et/ou d’élargir la bande enherbée à proximité du point d’eau à protéger».
Lorsque la pente de la parcelle est forte il est recommandé d'élargir la bande enherbée.
En Algérie, dans le cas de la mise en place de bandes enherbées visant à protéger des eaux de surface ou des zones de captage, aucun produit phytosanitaire ne devrait être autorisé sur les couverts environnementaux. Il s'agirait donc de trouver les moyens afin d'implanter la bande enherbée sur une surface sans salissement adventice et dans des conditions favorisant une installation rapide.
DES BANDES INTERESSANTES POUR LA CHASSE
Lors de l'entretien de la bande enherbée, afin de préserver la faune il est préférable de privilégier la fauche au lieu du broyage de l'herbe. En effet, de nombreuses espèces d'oiseaux peuvent nidifier dans les herbes hautes. En cas de broyage, on évitera les périodes de nidification (exemple entre le 15 avril et le 31 juillet) et on limitera la vitesse de passage à 10 km/h. Enfin, on évitera d’éparpiller les résidus végétaux afin de pas étouffer le couvert.
EVITER LE RAVINEMENT
Lors du passage des engins agricoles dans la bande enherbée, il faut veiller à éviter de créer des passages au même endroit. Ces passages préférentiels risquent de créer les conditions à une circulation de l'eau de pluie et donc à la formation de ravines. De la même façon, on évitera également de créer une raie de labour le long de la bande enherbée.
CONCLUSION
La lutte contre l'érosion a longtemps été pensé en termes d'ouvrages massifs et couteux entravant parfois le travail en grandes cultures, c'est par exemple le cas des banquettes. L'utilisation des bandes enherbées est une solution plus aisée et moins couteuse à mettre en oeuvre. Leur mise en oeuvre nécessite cependant un choix d'espèces spécifiques et un usage adapté en tant que ressource fourragère garantissant leur pérennité.
Sources: site Arvalis.fr
Bande enherbée contre l'érosion
nb: La Chambre d'Agriculture de Picardie organise
des formations
UN 2ème BARRAGE VERT?
Djamel BELAID Ingénieur Agronome. 2.12.2013
Article paru dans le blog "Paysans d'Algérie" El-Watan
L’Algérie doit lancer un second plan de barrage vert afin de contrer l’avancée du désert, a indiqué, selon l’APS, le 27.11.2013 le ministre de l’Agriculture et du développement rural, Abdelwahab Nouri.
"Nous avons lancé dans les années 1970 le programme du barrage vert parce que les autorités algériennes étaient conscientes de la gravité du phénomène de la désertification. Aujourd’hui nous devons, à la veille du lancement du programme quinquennal 2015/2019, faire un second plan de barrage vert pour essayer de contrer l’avancée du désert". Un « barrage vert » est-il la réponse la plus appropriée à la désertification?
DONNER LA PAROLE AUX SPECIALISTES ET AUX CONCERNES.
Il faudrait donner la parole aux spécialistes Algériens en la matière et aux populations concernées. Il serait par ailleurs intéressant de tirer les leçons du premier barrage vert. A cet égard, pour en avoir été partie prenante durant le Service National, un travail considérable a été mené par la jeunesse. Il faut remercier les djounouds et officiers du contingent qui durant les mois de leur longue incorporation de l’époque (2 ans) ont soigné dans des pépinières puis creusé le sol et mis en terre des dizaines de milliers de plants. Et cela dans des conditions difficiles: vent de sable, froids intense.
Depuis des années des universitaires (agronomes, géographes, biologistes, économistes, sociologues, juristes…) et des cadres, dont ceux du Haut Commissariat au Développement de la Steppe, se penchent et agissent sur ces questions de désertification. Ils devraient être consultés.
Les populations des communes concernées devraient être également auditionnées avant tout nouveau projet. De même que les représentants des associations professionnelles agricoles.
IDENTIFIER LES CAUSES REELES DE LA DESERTIFICATION.
L’une des causes de la désertification est le réchauffement climatique. Mais elle est loin d’être la seule. Il y aussi l’action de l’homme. L’apparition des bouteilles de gaz butane a permis de lutter contre la destruction des arbustes ligneux. Mais, il reste une autre action de homme très dommageable, en l’occurrence, celle de l’éleveur. Celui-ci est à la recherche continuelle de ressources fourragères pour ses moutons. L’acquisition de camions, de citernes à eau et le développement de la téléphonie permettent d’être au courant des zones les plus vertes et d’y déplacer rapidement les troupeaux. Et les éleveurs qui possèdent les moyens matériels peuvent arriver les premiers et faire pâturer jusqu’à la racine les plants de chih et alfa sans aucun souci de durabilité du système. Depuis plusieurs années des éleveurs labourent même le maigre sol steppique pour essayer de produire de l’orge.
Afin de lutter contre l’érosion éolienne en milieu steppique, il ne s’agit donc pas de planter systématiquement des arbres, mais d’abord de maîtriser le nombre de moutons à l’hectare. Et pour les parcours les plus dégradés, d’interdire tout accès des animaux durant 5 à 6 ans. Pas besoin d’arbres dans ces cas là.
Le labour en milieu steppique s’explique également par la volonté d’accaparements privés de parcours jusque là sous le régime « aarch ». Comment organiser une gestion rationnelle des parcours en tenant compte des modes de faire valoir traditionnels? Comment les améliorer, les faire évoluer? Quelle politique de concessions de terres agricoles dans des zones jusque là dévolues à la libre circulation des troupeaux? On ne peut arriver dans ce milieu et se mettre à planter des milliers arbres sans tenir compte des conditions socio-économiques locales. Puis, s’il faut planter des arbres dans certaines zones en milieu steppique, le meilleur gage de réussite ne serait-il pas de les faire planter par les premiers concernés en leur accordant des subventions judicieusement calibrées?
LE MYTHE DU BARRAGE.
Le terme de « barrage » contre la désertification est souvent utilisé. Il est impropre. Seule la conjugaison d’actions multiples peut permettre de lutter contre la désertification.
Par « barrage » on entend le plus souvent volonté de mettre en place une forêt d’arbres. Mais faut-il réellement procéder à la plantation d’arbres ou d’arbustes? Souvent, il a été planté massivement, sans même aucun recours à la mycorhization artificielle, du pin d’Alep. Est-il le plus adapté? Que penser d’autres espèces telle Ailanthus glandulosa que proposent de développer des chercheurs Algériens*.
Quant aux arbustes, certaines fixent le sol mais peuvent également servir de réserves fourragères en cas de disette. L’HCDS a installé de belles superficies d’Opuntia indica var. Inermis, d’attriplex ou d’acacias. Des études menées en Tunisie montrent tout l’intérêt de telles espèces.
Loin de penser à un « barrage » de végétaux interdit aux populations locales, les nouvelles stratégies de lutte contre la désertification doivent faire la place à diverses plantations et actions où agriculteurs et éleveurs locaux ont toute leur place. Cela doit se faire non pas par des méthodes administratives et le déversement de budgets faramineux aiguisant les appétits, mais par la participation des premiers concernés vivant sur zone. L’écoute des besoins des populations, le développement d’associations professionnelles représentatives, l’attribution de subventions au regard du respect de pratiques écologiques sont, à cet égard les points angulaires des dispositifs à mettre en place.
DES SOLUTIONS TECHNIQUES.
Accompagnant l’organisation adéquates des potentialités humaines, les moyens techniques ont alors toute leur place dans les dispositifs.
Certaines zones steppiques (dayat) peuvent être semées d’orge. Mais il s’agit d’étudier les façons de faire: interdiction du labour et remplacement par le semis direct. A ce propos le HDCS développe de telles initiatives. Il est possible d’envisager la plantation de haies.
Dans les sols en pente, il s’agit là aussi de proscrire la charrue et de développer des obstacles au ruissellement: haies, bandes enherbées, fascines de branchages et de pneus. A l’Ouest
l’Institut Techniques des forêts a développer des systèmes de lutte contre le ravinement.
De petits ouvrages peuvent permettre l’épandage des crues et assurer l’irrigation de terres. Ainsi, la production locale de fourrages permettrait de soulager les parcours les plus dégradés. Citons à
nouveau le HDCS qui possède en la matière une réelle expertise et dont nous recommandons le site internet.
Il s’agit également de former les agriculteurs locaux, une fois avoir résolu définitivement la question du statut juridique de la terre. Le Pr Slimane BEDRANI note dans un article universitaire le
revirement à 180° d’éleveurs qui acquérant un droit d’exploitation de parcours steppique, se mettent à se préoccuper de la charge de moutons à l’hectare afin de protéger d’une sur-exploitation les
touffes d’alfa.
Ne pourrait-on pas, également, imaginer un label « exploitation agricole respectueuse de l’environnement » et en tenir compte dans l’attribution des subventions agricoles?
Répétons le, la lutte contre la désertification n’est pas à imaginer comme un « barrage », une sorte de ligne Maginot ou Challes qui se dresserait contre l’avancée du désert. Il s’agit là d’une conception erronée. L’urgence de la désertification fait que nous ne pouvons plus nous permettre de telles erreurs. La vraie lutte contre la désertification fait appel à un ensemble de mesures techniques d’abord testées à petites échelles. Ces mesures techniques ne peuvent porter leurs fruits qu’en tenant compte d’un contexte où les aspects socio-économiques et juridiques ont toute leur place. On le voit donc, les populations locales sont au centre de tout projet qui se voudrait efficace.
Notes.
(*) Mohammedi Halima, Labani Abderrahmane et Benabdeli Khéloufi. Essai sur le rôle d’une espèce végétale rustique pour un développement durable de la steppe algérienne. In Développement Durable et
Territoires (2006).
DES DOCUMENTS CONTRE L'EROSION.
Une brochure rédigée par un conseiller de la Chambre d'Agriculture du tarn.
Cette brochure est téléchargeable sur le site Agritarn (voir lien ci-dessous) et peut vous être envoyée gracieusement par la Chambre d’agriculture du Tarn.
LUTTE CONTRE LES RAVINES.
La bande enherbée pour lutter contre les ravines
La bande enherbée contre les ravines
Lutte contre l'érosion hydrique
Egalement dans cette rubrique :
LA "DEHESA" ESPAGNOLE PROTEGE LES SOLS.
En Espagne, les espaces secs sont plantés d'arbres isolés. Cela protège les pâturages et offre de l'ombre aux animaux. Remarquez à la 23ème minute des plantations de jeunes arbres entourés de grillage. Pourquoi ne pas essayer chez nous ce système.
El bosque protector. Dehesas: bosques abiertos
Les champs en Algérie dans la région des hauts olateaux ne montrent aucune trace d'arbres. C'est un non sens écologique. L'Espagne se
distingue avec les "dehesas". Voila ce qu'il faut en Algérie et dans les autres pays méditerranéens.
Planter des arbres pour Tree Nation
Comment aider les céréaliers Algériens à planter des haies et des arbres?
www.youtube.com/watch?v=g0fmZI2FJ0Q
Agir sur le climat / stocker du carbone
Banquette anti-érosive avec des pneus.
https://scontent-b-cdg.xx.fbcdn.net/hphotos-ash3/1620701_666152023423694_1449874730_n.jpg
Un berger espagnol qui plante des arbres.
http://youtu.be/9owCdOSOp3k
EROSION EOLIENNE.
1 - LUTTE CONTRE LA DERSERTIFICATION DE LA STEPPE
La lutte contre la désertification et la production de fourrages en ...
Lutte contre la désertification et production de fourrages en Algérie ...
l'Alfa pour lutter contre la désertification
TECHNIQUE/BUSINESS
CONTACT
Voir la page Facebook Djamel BELAID
SITE HEBERGE
PAR www.1and1.fr
(coût de notre abonnement mensuel 12€). Une moyenne de 400 vues chaque jour.
PUBLICATIONS
ITGC 2015 211 pages.
LIENS CONSEILLES
Céréales, transfert de technologie
FICHES TECHNIQUES DU MAROC
GUIDES TECHNIQUES
Super guides de cultures.
Une expérience pour l'Algérie****.
Construction de semoir
(aller en bas de la page)
Alternatives Rurales Pratiques agricoles au Maghreb
Revue agronomique
Matériel agricole
Site Amis de P. RAbhi
TUNISIE
Témoignages sur le semis direct.
E L E V A G E
Conseil en élevage en Algérie
Cailles dans un garage
OPPORTUNITES D'INVESTISSEMENT
Ghriss Mascara - Algérie | Un fellah fabrique une ... - YouTube
Technique artisanale.
Huile de menthe.
Principe: par distilation. Usage: bloquer la germination des pommes de terre
Semoir semis-direct:
www.youtube.com/watch?v=SJcHIT7HY3c
Démarche cluster Unido * * * *
Comment développer son activité au sein d'un cluster
dans sa région. Cas de l'olive à Bouira.
Utiliser le fumier
des élevages.
Des entreprises DZ proposent des pompes agricoles solaires.
Semences de ferme.
Espaces verts machine élagage taille
Elagage des arbres en ville ou en verger.
www.youtube.com/watch?v=uX3dgBNigRU
NOUVELLES TECHNOLOGIES
Irrigation nano
au Maroc.
Semoir Semis direct Irakien****
Ras Ar-Rumuh - YouTube
Grass Farmer 1414 - YouTube
Pour semer la jachère pâturée
Aquatrad Subsurface Drip System
www.youtube.com/watch?v=-DBdZ1XvRAo
ACTU ENTREPRISES
Tapis et revêtements (Algerian Bovines)
C O U P DE C O E U R
قناة الشروق - تقنية البذر المباشر ITGC - semis ... - YouTube
Crème au chocolat - chef iatto tv - YouTube
"Danettes" au lait de soja et agar-agar
Solution Profert Azosul
Conseils de Mohamed MAYOUF
Désherbage bio - YouTube
www.youtube.com/watch?v=q7Wyv0uTfp8
Betterave sucre au Maroc
Barak Allah oufik Si Abdeslam.
SITES .FR
SITES .DZ
www.crstra.dz
www.inpv.dz
www.itgc.dz
LE SITE.
Ce site vise à réaliser une veille technologique concernant l'agriculture en milieu semi-aride. Nous proposons ainsi de réaliser un transfert de technologie. Beaucoup d'agriculteurs et agronomes sont à l'origine de techniques innovantes, nous essayerons de mieux les faire connaître.
L'auteur de ce site est un ingénieur agronome ayant travaillé sur le terrain en Algérie (Batna) et en France (Oise). Passionné d'agronomie et d'une curiosité insatiable, il se propose d'être un "passeur de savoir".
ps: les contributions externes sont les bienvenues.
Mot d'ordre du site
"Une idée nouvelle par jour".
Merci pour votre intérêt, la moyenne des consultations du site est de 200 par jour.