ACTUALITES DU CONSEIL AGRICOLE EN FRANCE DONT CELUI DES CHAMBRES D'AGRICULTURE CA..
Les conseillers des CA en France sont en contact avec les agriculteurs et les chercheurs des instituts techniques spécialisés. Ils ont l'expérience du terrain et l'obligation de résultats. A ce titre, il est très intéressant de se pencher sur cette organisation du conseil agricole (certes en forte évolution).
CHAMBRES D’AGRICULTURE EN France, UN REGARD ALGERIEN.
D. BELAID 30.03.2014. (Article en cours de rédaction. A suivre...).
Les Chambres d’Agriculture (CA) ont historiquement joué un rôle fondamental dans le progrès de l’agriculture française. Nous proposons un regard sur leur travail afin de nourrir la réflexion afin de ce que pourrait être les CA de wilaya en Algérie.
EVOLUTION DES ACTIVITES DES CHAMBRES D’AGRICULTURE
A-De nouveaux défis.
En France, les CA sont confrontées à de nouveaux défis :
-nouveau public (collectivités territoriales),
-exigences en matière de santé et d’environnement,
-nouveaux acteurs (collectivités territoriales, associations écologiques, agences, …),
-diminution des financements et réforme générale des politiques publiques (RGPP),
-concurrence avec l’agrofourniture, organisations professionnelles agricoles (OPA) et consultants privés.
Si avec l’apparition d’une demande nouvelle de la part des collectivités territoriales les CA a pu permettre de mener des activités contractuelles rémunérées, celle-ci se trouvent concurrencées par de nouveaux venus dans le conseil agricole.
B-Une reconfiguration du conseil agricole.
Jusqu’à présent le conseil agricole était associé à la vente d’un produit agricole : produit phytosanitaire, matériel agricole, aliments du bétail. Depuis une dizaine d’années sont apparues des consultants privés proposant à la vente des prestations spécifique : diagnostic de fertilité du sol, suivi sanitaire des cultures. Cela est le cas principalement en domaine viticole.
Cette situation est liée à l’évolution des exploitations agricoles. On observe une externalisation de certaines tâches auparavant assurées par l’exploitant. Cette délégation concerne différents domaines: travaux agricoles, diagnostics (mesure du reliquat azoté en sortie hiver), mais aussi stratégie même de l’exploitation (rôle de cabinets d’experts comptables agricoles privés).
Le corolaire de cette délégation de tâches agricoles a été le développement de la marchandisation des prestations du conseil agricole.
Pour les CA l’enjeu est double : perte d’une de « secteurs de marchés » rémunérateurs en période de vaches maigres et recul d’une porte d’entrée dans les exploitations. En effet, le conseil concernant une production ou un atelier constitue la porte d’entrée de tout conseiller dans une exploitation. Bien que plus stratégique, le conseil concernant la stratégie de l’exploitation ou des marchés, remporte moins l’adhésion de la masse des exploitants. Il fait difficilement recette. On a coutume de dire qu’on « entre les bottes aux pieds » dans une exploitation, c'est-à-dire par le conseil en parcelle ou en étable.
Les conseillers de CA sont donc amenés à vendre du conseil, eux qui étaient avant tout rémunérés par l’impôt sur le bâtit non construit perçu par les CA et diverses subventions publiques.
Claude Compagnone. Le spécialiste du conseil.
Je suis Maître de Conférences en sociologie à AgrosupDijon où j’enseigne la sociologie des organisations et de l’innovation. Mes recherches portent plus
particulièrement sur deux aspects. Tout d’abord sur les changements de pratique des agriculteurs et la façon dont ces changements sont portés par les interactions dialogiques que ces derniers peuvent
entretenir, entre eux et avec l’encadrement technique, au sein de réseaux d’acteurs sociaux aux configurations singulières. Ensuite, sur les structures du développement agricole et les activités des
agents qui y participent.
Dernières parutions:
COMPAGNONE C., LEMERY B., PETIT S., KOCKMANN F., MORETTY P. (2013). Forme et réforme organisationnelles des Chambres d'agriculture. Une lecture à partir des régimes d'action des conseillers. Economie rurale, 337 : 41-58.
Contact: AgrosupDijon - INRA SAD Listo
(Etablissement National d'Enseignement Supérieur Agronomique de Dijon)
Les Longelles 26 Bd du Docteur Petitjean BP 87999 21079 DIJON Cedex
Tel : 03 80 77 25 31 Fax : 03 80 77 28 28
c.compagnone@agrosupdijon.fr
Note de lecture: Conseil et développement en agriculture
Etre conseiller agricole aujourd'hui
Chambres d'agriculture : Etre conseiller agricole aujourd'huiwww.chambres-agriculture.fr › Accueil › Outils et modules
mardi 09 avril 2013
6 000 conseillers de Chambres d’agriculture oeuvrent au quotidien pour le développement d’une agriculture durable et performante dans les territoires. Une fiche pratique illustrée de deux témoignages de conseillers pour découvrir ce métier.
De l’accompagnement technique des agriculteurs au conseil stratégique pour des collectivités, un rapide tour d’horizon de ce métier méconnu mais au cœur des grandes innovations et évolutions du secteur agricole.
Quels sont les champs d’activités ?
Les conseillers se répartissent dans trois grandes spécialités :
agronomie-environnement
économie-gestion d’entreprise
développement territorial.
Quelles sont les activités principales ?
animation de réseaux ou de groupes d’agriculteurs (réseaux DEPHY/ECOPHYTO, groupes de développement…)
gestion de projets collectifs ou individuels (installation, organisation d’une filière pour l’approvisionnement local de la restauration collective…)
formation pour les agriculteurs (nouvelles techniques de travail du sol, gestion de l’eau…)
réalisation d’études économiques ou d’expérimentations techniques
Des nombreux interlocuteurs
agriculteurs
organisations professionnelles
coopératives
organismes R&D (INRA, stations d’expérimentation, Universités, Instituts techniques…)
collectivités territoriales
acteurs de la ruralité et du périurbain (artisans, associations locales…)
Quelles sont les compétences et qualités d'un conseiller ?
Le conseiller a une bonne connaissance du milieu agricole, maîtrise les éléments techniques relatifs à son domaine, et tient régulièrement à jour ses connaissances.
Au-delà de l’expertise, le métier requiert des qualités d’écoute, un sens du contact, des capacités d’argumentation pour pourvoir co-construire avec les différents interlocuteurs les solutions les mieux adaptées à leurs besoins et projets.
Comment devenir conseiller en Chambres d’agriculture ?
Les écoles d’ingénieur dans les domaines de l’agriculture ou de l’agro-alimentaire sont la voie privilégiée d’accès au métier.
Aujourd’hui, les profils de recrutement s’ouvrent vers les titulaires de diplôme du troisième cycle (biologie, économie et gestion, droit, aménagement, environnement).
En savoir plus :
consultez la fiche ROME A1301 et la fiche de l'ONISEP
visitez notre page Formation-métier
Découvrir le métier de conseiller en vidéo
Témoignage de Thomas Gaujard, conseiller de la Chambre d'agriculture d'Eure-et-Loir
Témoignage de Sébastien Sallé, conseiller environnement de la Chambre d'agriculture d'Eure-et-Loir
L’Etablissement Départemental de l’Elevage (EDE)
Il gère l’identification des bovins, ovins, caprins, porcins et l’enregistrement des ateliers de poules pondeuses.
L’identification des animaux assure la traçabilité des viandes de la naissance de l’animal jusque dans l’assiette du consommateur. C’est aussi un outil de suivi sanitaire des troupeaux qui a permis l’éradication des maladies animales contagieuses. Il permet enfin aux éleveurs de suivre les performances de leurs animaux et de sélectionner les meilleurs lignées de reproducteurs.
Cette identification animale concerne tous les détenteurs d’animaux, professionnels ou non :
-pour les bovins 1 bovin au moins (vache bisons…)
-pour les petits ruminants 1 animal reproducteur au moins (chèvre,bouc,bélier, brebis…)
-Pour les porcs, 1 reproducteur au moins (truie, verrat) ou 2 porcs (même seuil pour les sangliers d’élevage..)
Pour les poules pondeuses dont les œufs sont destinés aux centres d’emballage et/ou aux marchés, les bâtiments doivent êtres identifiés
Les créations, modification ou cessation d’activités de détention de ces catégories d’animaux doivent être déclarés à l’EDE.
IDENTIFICATION DES EQUIDES
Il est géré par le SIRE de l’Institut Français de Cheval et de l’Equitation.
Chaque détenteur doit déclarer la naissance de son poulain dans les 15 Jours au SIRE.
De plus,depuis le 25 Juillet 2010, chaque détenteur d’un équin doit s’identifier et déclarer les lieux de détention des équidés auprès de l’Institut Français du Cheval et de l’Equitation
- Vidéo qui montre le travail des techniciens du contrôle laitier dépendant de la CA. Ce conseil pourrait également être prodigué par des conseillers de laiteries.
Rencontre Nutrition à Plouaret
Une vidéo qui montre comment des conseillers travaillent avec des éleveurs.
www.youtube.com/watch?v=mbpXmJUaQcI
La prévention santé : l'appui vétérinaire dans les élevages
La vie d'un groupe d'agriculteurs organisés en groupe technique. Expérience intéressante, on les voit visiter l'exploitation de l'un de leur voisin en présence d'un
vétérinaire.
Piloter l'âge au vêlage des génisses. Rôle du conseiller.
Le contrôle de performances.
Vidéo édifiante à plus d'un titre. Nous vous proposons cette vidéo, non pas pour la technique de bien élever des génisses, mais car on voit le rôle du conseiller technique. Regardez vers la fin de la vidéo. On voit le conseiller sur l'exploitation, sur une parcelle, puis à l'étable pour des mesures sur les génisses. Ensuite, le conseiller rentre les mesures dans une base de données où figurent celles d'autres agriculteurs. Et écoutez bien ce que dit l'éleveur: "c'est pour voir si on est bon ou pas bon". A notre humble avis, cet enregistrement des performances dans un groupe est la clée de tout progrès.
www.youtube.com/watch?v=4ow1D7ZQk8Q
LES GROUPES DE DEVELOPPEMENT AGRICOLE DES CHAMBRES DAGRICULTURE.
Des agriculteurs se regroupent. La Chambre d'Agriculture met à leur disposition un conseiller technique.
nb: nous vous conseillons le site sur you tube de la Chambre d'Agriculture de l'Aube. Il est très riche* * *.
Un groupe de développement agricole, à quoi ça sert ?
INTERVIEW DE JEAN-DOMINIQUE GILET, FDGEDA DU CHER« Il faut revisiter le tour de plaine »
Le tour de plaine est pratiqué par tous les conseillers de terrain, mais sa forme actuelle ne répond plus aux évolutions des conduites agronomiques.

Jean-Dominique Gilet est directeur de la FDGeda du Cher. Il s’agit d’une association d’agriculteurs ayant pour vocation l’accompagnement technicoéconomique de ses adhérents en groupes, dans le domaine de l’agronomie, des énergies renouvelables et du développement durable. - © N. Ouvrard
Quel est l’objectif du tour de plaine tel qu’il se déroule habituellement ?
Partout en France, le tour de plaine est largement pratiqué avec quasiment toujours le même mode opératoire, transmis d’une génération de conseillers à l’autre. L’objectif est d’apporter un message technique et agronomique basé sur des observations de terrain, pour répondre à une problématique du moment. Il s’agit d’un conseil à chaud, ce qui oriente fortement vers les solutions phytosanitaires.Quel est le rôle du conseiller et des agriculteurs ?
Le tour de plaine commence presque toujours par un point technique en salle ou sous un hangar. C’est un moment convivial, parfois autour d’un café, au cours duquel le conseiller intervient en tant qu’expert. Ce dernier explique ce qu’il a observé dernièrement et donne ses solutions techniques, sans remise en cause par les participants. Puis on va en plaine sur les parcelles de l’agriculteur qui reçoit. Le tour de plaine tourne d’une exploitation à l’autre, ce qui fait que les agriculteurs ne verront ces parcelles sans doute qu’une seule fois. Comme le rendez-vous est pris à l’avance, les parcelles visitées risquent d’être déconnectées de l’actualité. L’enquête de terrain est très réduite.Pourquoi ce tour de plaine nécessite une rénovation ?
Les nouveaux enjeux autour de l’utilisation des produits phytosanitaires, la plus grande diversité des systèmes d’exploitation, une demande sociétale renforcée nécessitent une remise en cause du conseil. Une réponse à chaud sur la conduite des cultures ne suffit plus, d’autant que les pratiques actuelles ne donnent plus entièrement satisfaction, avec l’apparition croissante d’impasses techniques, notamment au niveau du désherbage dans nos régions intermédiaires. Il faut une vision plus large, intégrant au minimum le système de cultures et même le système d’exploitation dans son ensemble.Concrètement, comment le faire évoluer ?
Il est nécessaire d’étendre le champ de l’enquête pour chacune des exploitations : son organisation, son environnement, le parcellaire, le temps de travail, la rotation… Cette réflexion doit être menée au cours de réunions d’hiver. Cela conduira à sélectionner des parcelles conduites selon différents systèmes d’exploitation que l’on ira observer en groupe au cours de la saison mais aussi en interculture, puis à se fixer des objectifs de résultats. L’enjeu est de générer une réflexion collective, une co-construction. La diversité des solutions techniques innovantes est telle que le conseiller ne peut détenir toutes les réponses à lui tout seul et que l’on ne peut plus les valider uniquement par des expérimentations avec répétitions. Il faut que le groupe s’appuie sur les expériences mises en oeuvre par les agriculteurs euxmêmes qui vont fournir des résultats avant que nos propres références soient établies, via l’expérimentation. C’est le cas par exemple pour les couverts intermédiaires, le désherbage mécanique, les mélanges de cultures ou encore les semis sous couverts.Dans les groupes qui ont mis en oeuvre ces changements, quelle a été la perception de chacun ?
Ces changements modifient les relations humaines. Le rôle du conseiller est désacralisé, ce qui peut être perturbant, tant pour lui-même que pour les agriculteurs. En revanche, son rôle d’animateur est renforcé. Un groupe Dephy est entré dans cette démarche, avec satisfaction. J’ai présenté cette approche aux quarante présidents de groupes du département du Cher qui se sont montrés très ouverts. Globalement il y a une demande des agriculteurs.CHAMBRE D'AGRICULTURE DU TARN.
Une région au climat méditerranéen. Des conditions qui se rapprochent des nôtres.
Nous vous conseillons le site internet très riche de cette CA.
Quelques publications sur le semis direct pour réduire l'érosion.

Etre conseiller agricole aujourd'hui
mardi 09 avril 2013
6 000 conseillers de Chambres d’agriculture oeuvrent au quotidien pour le développement d’une agriculture durable et performante dans les territoires. Une fiche pratique illustrée de deux témoignages de conseillers pour découvrir ce métier.
De l’accompagnement technique des agriculteurs au conseil stratégique pour des collectivités, un rapide tour d’horizon de ce métier méconnu mais au cœur des grandes innovations et évolutions du secteur agricole.
Quels sont les champs d’activités ?
Les conseillers se répartissent dans trois grandes spécialités :
agronomie-environnement
économie-gestion d’entreprise
développement territorial.
Quelles sont les activités principales ?
animation de réseaux ou de groupes d’agriculteurs (réseaux DEPHY/ECOPHYTO, groupes de développement…)
gestion de projets collectifs ou individuels (installation, organisation d’une filière pour l’approvisionnement local de la restauration collective…)
formation pour les agriculteurs (nouvelles techniques de travail du sol, gestion de l’eau…)
réalisation d’études économiques ou d’expérimentations techniques
Des nombreux interlocuteurs
agriculteurs
organisations professionnelles
coopératives
organismes R&D (INRA, stations d’expérimentation, Universités, Instituts techniques…)
collectivités territoriales
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Quelles sont les compétences et qualités d'un conseiller ?
Le conseiller a une bonne connaissance du milieu agricole, maîtrise les éléments techniques relatifs à son domaine, et tient régulièrement à jour ses connaissances.
Au-delà de l’expertise, le métier requiert des qualités d’écoute, un sens du contact, des capacités d’argumentation pour pourvoir co-construire avec les différents interlocuteurs les solutions les mieux adaptées à leurs besoins et projets.
Comment devenir conseiller en Chambres d’agriculture ?
Les écoles d’ingénieur dans les domaines de l’agriculture ou de l’agro-alimentaire sont la voie privilégiée d’accès au métier.
Aujourd’hui, les profils de recrutement s’ouvrent vers les titulaires de diplôme du troisième cycle (biologie, économie et gestion, droit, aménagement, environnement).
En savoir plus :
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Témoignage de Thomas Gaujard, conseiller de la Chambre d'agriculture d'Eure-et-Loir
Témoignage de Sébastien Sallé, conseiller environnement de la Chambre d'agriculture d'Eure-et-Loir
TECHNIQUE/BUSINESS
CONTACT
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SITE HEBERGE
PAR www.1and1.fr
(coût de notre abonnement mensuel 12€). Une moyenne de 400 vues chaque jour.
PUBLICATIONS
ITGC 2015 211 pages.
LIENS CONSEILLES
Céréales, transfert de technologie
FICHES TECHNIQUES DU MAROC
GUIDES TECHNIQUES
Super guides de cultures.
Une expérience pour l'Algérie****.
Construction de semoir
(aller en bas de la page)
Alternatives Rurales Pratiques agricoles au Maghreb
Revue agronomique
Matériel agricole
Site Amis de P. RAbhi
TUNISIE
Témoignages sur le semis direct.
E L E V A G E
Conseil en élevage en Algérie
Cailles dans un garage
OPPORTUNITES D'INVESTISSEMENT
Ghriss Mascara - Algérie | Un fellah fabrique une ... - YouTube
Technique artisanale.
Huile de menthe.
Principe: par distilation. Usage: bloquer la germination des pommes de terre
Semoir semis-direct:
www.youtube.com/watch?v=SJcHIT7HY3c
Démarche cluster Unido * * * *
Comment développer son activité au sein d'un cluster
dans sa région. Cas de l'olive à Bouira.
Utiliser le fumier
des élevages.
Des entreprises DZ proposent des pompes agricoles solaires.
Semences de ferme.
Espaces verts machine élagage taille
Elagage des arbres en ville ou en verger.
www.youtube.com/watch?v=uX3dgBNigRU
NOUVELLES TECHNOLOGIES
Irrigation nano
au Maroc.
Semoir Semis direct Irakien****
Ras Ar-Rumuh - YouTube
Grass Farmer 1414 - YouTube
Pour semer la jachère pâturée
Aquatrad Subsurface Drip System
www.youtube.com/watch?v=-DBdZ1XvRAo
ACTU ENTREPRISES
Tapis et revêtements (Algerian Bovines)
C O U P DE C O E U R
قناة الشروق - تقنية البذر المباشر ITGC - semis ... - YouTube
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"Danettes" au lait de soja et agar-agar
Solution Profert Azosul
Conseils de Mohamed MAYOUF
Désherbage bio - YouTube
www.youtube.com/watch?v=q7Wyv0uTfp8
Betterave sucre au Maroc
Barak Allah oufik Si Abdeslam.
SITES .FR
SITES .DZ
www.crstra.dz
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LE SITE.
Ce site vise à réaliser une veille technologique concernant l'agriculture en milieu semi-aride. Nous proposons ainsi de réaliser un transfert de technologie. Beaucoup d'agriculteurs et agronomes sont à l'origine de techniques innovantes, nous essayerons de mieux les faire connaître.
L'auteur de ce site est un ingénieur agronome ayant travaillé sur le terrain en Algérie (Batna) et en France (Oise). Passionné d'agronomie et d'une curiosité insatiable, il se propose d'être un "passeur de savoir".
ps: les contributions externes sont les bienvenues.
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