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AGRUMES EN INTENSIF
Nous recommandons en particulier les vidéos mises en ligne sur youtube par Mr Mohamed Mayouf
Agrumes en Algérie, Réussite de travail Fellah ... - YouTube
Une filière qui se porte bien
La NR 2013
Selon le directeur général de l’Institut technique de l’arboriculture et de la vigne, Mahmoud Mendil, il n’y a pas de recul de la production d’agrumes. En revanche, il y a des évolutions différentes par rapport aux groupes d’espèces auxquelles on a affaire.
Ce qui a été récolté, a-t-il ajouté, ce sont les oranges précoces et les petits fruits, notamment les clémentines ; les rendements obtenus sont conformes à la moyenne des trois dernières années. Dans un entretien accordé à la Chaîne III de la Radio nationale dont il était l’invité de la rédaction, il a rappelé que l’agrumiculture s’étend d’Alger jusqu’à Tamanrasset et de Tlemcen jusqu’à El-Tarf, avec des conditions différentes et des variétés différentes, également d’une région à l’autre. Il a fait savoir qu’à partir des sondages qui sont faits, notamment dans La Mitidja qui détermine l’évolution de toute l’agrumiculture, il y a des rendements qui oscillent entre 185 et 190 quintaux à l’hectare, alors qu’ils étaient à 200 et 205 quintaux/ha. Sur les 63 000 ha d’agrumes en Algérie, 55 000 ha sont en production, la différence de 8 000 ha concerne les jeunes plantations, c’est-à-dire les plantations de 2008 qui ne sont pas encore en production et qui entreront en production en 2014, a expliqué M. Mendil. La moyenne des rendements est de 190 à 200 quintaux/ha, ce qui fait, a-t-il ajouté, un potentiel de production de 10 millions à 11 millions de quintaux annuellement. «A terme, avec l’entrée en production des 8 000 ha, nous projetons d’arriver à une production de 13 à 14 millions de quintaux d’agrumes», a-t-il prévu. Le verger agrumicole algérien, a-t-il fait constater, est constitué de trois classes d’âge : les plantations de 0 à 10 ans, celles entre 10 et 40 ans (la catégorie qui produit le maximum) et celles de 45 et 50 ans, qui représentent à peine 12 000 ha sur les 63 000 ha ; ces 12 000 ha font partie d’un programme de rajeunissement consistant en l’arrachage graduel de ces plantations et à leur replantation. En même temps, a-t-il ajouté, il y a un programme sur 12 000 autres ha de nouvelles plantations. En faisant remarquer que le maximum de surfaces agrumicoles était, il y a quelques années, de 45 000 ha, il a précisé que c’est la première fois que le seuil de 63 000 ha est dépassé. Il a souligné que si l’urbanisation dans la Mitidja s’est faite, en partie, au détriment des agrumes (en particulier dans les années 90), il y a eu par contre dans la même Mitidja des plantations d’agrumes en substitution à d’autres cultures. L’idée fausse des agrumes durant la colonisation M. Mendil a détruit l’idée reçue selon laquelle l’Algérie exportait les agrumes durant la période de colonisation et que ce serait l’indicateur de la bonne production agrumicole pendant cette période. Si les agrumes étaient exportés à cette époque, dit-il, ce n’est pas parce que la production était bonne mais parce que les Algériens ne mangeaient pas d’agrumes. Le peuple algérien, explique-t-il, consommait les oranges de mauvaise qualité, les Algériens n’ont jamais consommé pendant la période coloniale les clémentines, les Washington, les Thomson, c’est-à-dire les fruits de qualité et après l’indépendance - c’était un des objectifs de la Révolution, a-t-il rappelé. Le peuple algérien a alors commencé, à partir de 962, à consommer ses propres produits,ce qui a généré une inversion du flux. Il a rappelé également qu’en 40 ans, l’Algérie est passée de 9 millions à 35 millions d’habitants et que cette population demande à consommer. M. Mendil a fait observer que le programme agrumicole algérien a commencé il y a un certain nombre d’années avec un grand soutien de l’Etat avec les nouvelles plantations. Nous avons commencé dans une première étape, a-t-il dit, par redéployer le potentiel agrumicole pour augmenter les capacités de production, puis dans une deuxième phase à consolider et rendre durables ces capacités. Depuis trois ans, nous soutenons l’activité de production. L’agrumiculture, a-t-il fait remarquer, avec 63 000 ha, a généré 25 000 emplois directs au verger, sans compter l’amont et l’aval. Il y a des investisseurs qui viennent à l’agrumiculture, a-t-il dit. Le chiffre d’affaires de cette filière est passé de 8 milliards de dinars à 12 et 14 milliards de dinars. Au niveau de la transformation, il y a quatre opérateurs majeurs. A propos de l’exportation, M. Mendil a signalé que le marché local est si attractif aujourd’hui que le producteur algérien n’est plus intéressé par l’exportation et pas seulement des oranges. Il a également fait savoir que les prix de cession chez les producteurs ne dépassent pas les 30 dinars pour les agrumes, toutes espèces confondues, la différence étant prise par les intermédiaires. Pour les vignobles, il a signalé que 30% sont constitués de jeunes plantations parce qu’il y a eu beaucoup d’arrachages. Il a fait savoir que l’une des exportations les plus importantes cette année, est celle des vins (pour 2 millions de dollars) qui sont connus pour être de très bonne qualité. Il signale que la wilaya de Boumerdès est le leader algérien dans la production des raisins de table et qu’il y a une relance sur les vignobles de Mascara.
Lakhdar A.
Agrumes en Algérie, volonté d'un ingénieur
Du beau travail que nous présente Mr Mohamed MaYOUF.
ACI journee agrumes en intensif 15-12-2011
Beau travail de vulgarisation de cette firme. Bravo!
ACI AGRUME ACT 2
ACI AGRUMES 10 04 2011
Exportation d'oranges vers la Suède. Remarquez le conditionnement quelque peu sommaire, mais efficace.
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LES AGRUMES AU MAROC
Remarquez le trieur optique sur la chaîne de conditionnement.
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