AGRICULTURE, ARRIVER A DEUX RECOLTES PAR AN?

Djamel BELAID. 8 mars 2014. Actualisé le 25.11.2014.

 

En Algérie, les résultats des études prospectives relatives à la couverture des besoins alimentaires sont alarmants. Certains chercheurs pronostiquent des produits agricoles de large consommation dont les prix pourraient être à terme multipliés par 4. Malgré quelques progrès, les besoins en céréales, en légumes secs mais aussi lait, sucre, huile sont loin d’être couverts. Les terres agricoles ne sont pas inextensibles. Plus grave, la surface agricole par tête d’habitant diminue même progressivement sous l’effet de l’érosion des sols et l’urbanisation. Les terres agricoles sont donc le bien le plus précieux. Mais pour répondre à des besoins quantitatifs (blé, légumes) mais aussi qualitatifs (viandes rouge, produits laitiers) croissants, la solution ne serait-elle pas d'utiliser les cultures dérobées pour arriver à deux récoltes par an?

 

 

DEUX RECOLTES GRACE A L’EAU

 

Deux récoltes par an, cela n’est n’est pas dans nos traditions sauf en maraichage et en particulier en pomme de terre. En Algérie, en général, les terres sont ensemencées de céréales et une fois la récolte tout nouveau semis n’est envisageable que l’année suivante.

 

Comment donc arriver à deux récoltes avec par exemple une culture principale et une inter-culture orientée vers l’élevage? La solution pourrait venir de l’irrigation. Une des plus grandes révolutions techniques de ces dernières années en Algérie est l’irrigation d’appoint en grande culture. Cette révolution est passée presque inaperçue pour le grand public. Cette irrigation utilise des enrouleurs, asperseurs (sur de plus petites surfaces) et peu se faire avec de l’irrigation par goutte à goutte. Un des plus gros problème marquant l’agriculture algérienne peut ainsi être résolue partiellement: le déficit hydrique.

 

Précisions qu’il ne s’agit pas dans notre propos de développer le cas de l’irrigation continue sous pivot telle qu’elle peut être pratiquée dans le Sud avec l’utilisation abusive des eaux fossiles. Eaux qui sont le plus souvent salées. Cette pratique, telle qu’elle est développée actuellement, ne constitue pas une solution durable. Outre la baisse du niveau des nappes phréatiques, il y a une salinisation secondaire (actuellement irréversible) des sols suite aux sels apportés lors de chaque cycle d’irrigation.

 

 

LE HANDICAP DU CLIMAT SEMI ARIDE

 

Le climat de l’Algérie est particulier et handicapant pour les activités agricoles. Si à l’intérieur du pays, la période sèche pose un sérieux problème aux cultures, il est est de même d’une partie de la période pluvieuse. En effet, mêmes si les mois d’hiver sont pluvieux, du fait de températures basses rien ne pousse, sauf sous serre. Ainsi, quand les températures sont chaudes, nous n’avons pas d’eau. Et quand, nous avons de l’eau, les températures sont trop basses.

 

La période de temps « poussant » est donc limitée. En été, le déficit hydrique est tel qu’il empêche tout agriculture pluviale. Ce déficit hydrique peut également déborder sur une bonne partie de l’automne. Au printemps, l’humidité existante peut rapidement laisser place à des séquences sèches.

 

Pour les cultures à forte marge, afin de se prémunir du gel, la solution trouvée par les agriculteurs est la culture sous serre. Quant aux cultures de plein champs, l’astuce pourrait consister à rallonger en automne ou au printemps la période de culture où les températures sont favorables par une irrigation dite d’appoint; c’est à dire ponctuelle. Pour cela, il s’agit de cultiver après les cultures traditionnelles d’autres cultures à cycle court telles certaines cultures fourragères. Ces dernière sont intéressantes car, par exemple, il n’est pas nécessaire d’attendre la formation de graines chez un colza fourrager. C’est les feuilles qui intéressent l’éleveur. La culture peut donc se faire sur 2 ou 3 mois seulement. Idem concernant les céréales, toutes n’ont pas un cycle de 9 mois comme le blé. Dans le cas de l’orge, la récolte est plus précoce. Il devient alors possible de faire succéder à une culture d’orge un fourrage tel le sorgho. Sous des climats plus favorables, tel qu’en France, afin de gagner du temps, des agronomes testent des semis de luzerne au sein même d’une culture de céréales.

 

Il s’agit là de pratiques novatrices qui nécessitent une bonne connaissance du cycle des espèces et des différentes variétés notamment leur date de semis. Des chercheurs du Cirad de Montpellier préconisent même d’acclimater des espèces végétales ouest-africaines connues pour leur grande vigueur de croissance.

 

 

 

DES EXEMPLES DE COMBINAISONS INNONBRABLES

 

Les exemples de deux récoltes par an sont nombreuses. Précisons d’abord, qu’on distingue deux types de cultures selon leur date de semis: les cultures d’hiver (céréales à paille, légumes secs, colza, pois protéagineux), et celle de printemps (maïs, tournesol, betterave à sucre). Selon les variétés, quelques cultures peuvent parfois être semées indistinctement au printemps ou en hiver. Certes, le raccourcissement du cycle, suite à un semis plus tardif, peut se traduire par une baisse de rendement. De nouvelles combinaisons de cultures peuvent être envisagées dès l'automne ou bien au printemps.

 

Cas de la rotation fourrages-céréales. Il est possible de semer un colza fourrager dès le mois d’août, de le faire pâturer dès la mi-septembre puis de semer une céréales début novembre. Maîtriser la technique du non labour avec semis direct permet une implantation plus rapide de la deuxième culture.

 

Cas d’un fourrage-tournesol. On peut penser à l’installation dès l’automne d’un mélange de vesce-avoine récolté au printemps en ensilage puis à une implantation immédiate d’une culture de tournesol recevant une irrigation d’appoint aux stades les plus sensibles du cycle. Une récolte « précoce » du fourrage de vesce-avoine ne se traduit pas par un manque à gagner. Traditionnellement ce type de fourrage est récolté tardivement. L’agriculteur espérant ainsi obtenir plus de biomasse. Il est encouragé en cela par le déficit national qui atteint 4 milliards d’unités fourragères qui est à l’origine d’une forte demande. Mais cette augmentation de tonnage de foin à l'hectare se fait au détriment de la qualité. Il y a une baisse du taux de matières azotées du fourrage.

 

La rapidité d’installation du tournesol peut être, là aussi, améliorée par semis direct. Celui-ci permet d’installer une culture en un seul passage de tracteur contre 4 dans le cas d’un semis conventionnel. Le semis direct permet d'envisager 3 cultures par an: en août semis d'un colza fourrager, en octobre semis de vesce avoine récolté en ensilage puis en juin semis de sorgho utilisable en été.

 

 

DES COMBINAISONS BENEFIQUES CONTRE LES RAVAGEURS DES CULTURES

 

Des rotations peuvent être envisagées en intégrant une culture de pomme de terre. La disponibilité de plus en plus grande en matériel de plantation et de récolte permet progressivement de considérer la pomme de terre comme « grandes cultures ».

 

Dans toutes les combinaisons, il s’agira de tenir compte d’éventuels arrières effets des herbicides utilisés. En effet, certains peuvent réduire le rendement de la culture même plusieurs mois après leur utilisation. On utilisera donc des produits compatibles.

 

Dans le cas de l’implantation pour deux années d’une prairie de légumineuses (luzerne) diverses combinaisons peuvent être envisagées. Dans le cas d’une implantation de printemps, une culture courte telle de la vesce-avoine ensilée peut être envisagée. Le semis direct permet d’envisager le semis d'une culture au sein même d'une autre. En Tunisie a été expérimenté avec succès le semis automnal d'avoine au sein d'une luzerne au repos. L'avoine est récoltée fin mars par ensilage comme fourrage avant la reprise de croissance de la luzerne.

 

L’installation de cultures de familles botaniques différentes est un gage de réussite. En effet le cortège de prédateurs d’une légumineuse est rarement le même que celui d’une crucifère ou d’une céréale.

 

Les nombreuses combinaisons possibles dépendent du système d’exploitation (matériel disponible, présence d’élevage, technicité de l'agriculteur) du type de sol et des caractéristiques du climat local.

 

 

UNE CONDITION, PRESERVER LA FERTILITE DU SOL

 

Afin d’être réussie, la technique de deux récoltes par an nécessite de disposer d’un sol avec une bonne fertilité, notamment un taux correct en matières organiques. En effet, procéder à deux cultures par an implique un prélèvement important d'éléments minéraux du sol. Seule un bon taux en matière organique permet de bien valoriser les engrais et d’améliorer la rétention de l’eau (pluie, irrigation d’appoint).

 

Cette amélioration de la fertilité passe par l’apport régulier de fumier ou d’engrais vert. Une telle démarche d’amélioration pourrait être encouragée par les pouvoirs publics en indexant l’octroi des subventions selon par exemple le taux de MO du sol, la plantation de haies en bordure de parcelles, la réalisation d’ouvrages simples ou de bandes enherbées favorisant l’infiltration des eaux de pluies en freinant leur ruissellement.

 

Ces actions d’amélioration de la fertilité peuvent être également réalisées par une politique volontariste d'abandon progressif du labour et l’utilisation du semis direct. Il a été constaté que ce mode de semis permet une amélioration du taux de matière organique du sol et une meilleure capacité du sol à emmagasiner l’eau de pluie.

 

DEUX CULTURES PAR AN, DES ATOUTS CERTAINS

 

La technique de deux récoltes par an manque de références techniques. Cela s’explique par le mode d’organisation actuelle de la recherche agronomique. Les recherches sont menées par type de cultures et non pas par systèmes d’exploitation. Il y a un cloisonnement préjudiciable et une difficulté d’obtenir des références. L’association élevage ovin et céréales constitue également un frein. En l’absence d’une réelle politique d’intensification fourragère, les chaumes de céréales représentent un fourrage de substitution. Ce qui n’encourage pas à installer une deuxième culture. Par ailleurs, le choix en cultures est réduit (manque de vulgarisation, manque de semences, absence de vision à long terme des décideurs agricoles). Il faut ainsi signaler que les cultures de betterave, de colza et de tournesol n’ont jamais été encouragées par les services agricoles. Pourtant dans le cas des deux dernières, elles ne nécessite pas de matériel spécifiques ni installations de transformation particulières (un pressage à froid des graines est même envisageable au sein de petites huilerie proches des exploitations).

 

Par ailleurs, le développement de l’irrigation d’appoint est relativement récent. La fourniture des agriculteurs en enrouleurs est loin d’être la norme même si leur production par une entreprise publique locale (Anabib) constitue un sérieux atout. Mais il faut pour cela disposer d’un point d’eau sur l’exploitation. A cet égard, le recyclage des eaux usées par des stations d’épuration permet de disposer de quantités d’eau supplémentaires et de boues d’épuration pour des amendements organiques. Cette disponibilité en eau peut être augmentée par l’encouragement des agriculteurs à lutter contre le ruissellement des eaux de pluies et à créer des bassins à l'aide de géo-membranes. Il s’agit également d’améliorer la fertilité des sols seul garant de systèmes de cultures intensifs.

 

Le développement de deux récoltes par an repose également sur l’extension du semis direct. Celui-ci réduit le temps et le coût d’implantation des cultures. L'apparition d'ensileuses et d’enrubanneuses permet également des récoltes précoces et ainsi de libérer plus vite les parcelles

 

Obtenir deux cultures par an nécessite une plus grande technicité. Le coût de l’irrigation implique la maîtrise des autres facteurs de rendements: variétés, produits phytosanitaires et engrais. Il s’agit en effet d’un mode de pensée nouveau. Cela oblige à envoyer des missions d’études (cadres de terrain et agriculteurs) à l’étranger afin de voir ce que font des agriculteurs. Cela implique l’acquisition de références techniques et la mise en place d’un suivi technique assuré par des cadres motivés et compétents. Il ne s’agit pas en effet de créer un divorce entre de grandes exploitations qui auraient accès à l’irrigation d’appoint et donc à ce mode d’intensification et d’autres plus petites sans moyens. Le système proposé s'adapte également à de petites exploitations.

 

Le fort développement actuel d’un élevage laitier et la demande induite en fourrages constitue un atout qui peut conforter les exploitations à adopter ce genre d’approche novatrice seule capable de répondre aux défis d’une meilleure auto-suffisance alimentaire.

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La culture du colza est possible en Algérie. En témoigne les résultats de cette étude.

Mémoire d'étude:

 

Etude du comportement de trois variétés de colza (Brassica napus) dans les conditions du Haut-Chéliff.

 

Présenté par: M GUETTAA Ismail et ABDELHAK Khaled.

Université de Khemiss-Miliana

A l'issu de ce travail où nous avons étudié le comportement, l'évaluation des potentialités de production, et la possibilité d'adaptation de trois variétés de colza d'origine étrangère (France), dans les conditions pédoclimatiques déterminées propres à la zone de khemis-miliana nous avons dégagés les conclusions suivantes :

Concernant les stades phénologiques, les variétés testées ont montré une très faible différence, vu que l'écart entre les variétés pour un stade ne dépasse pas une semaine. Ce qui justifie le faible écart entre la durée de cycle de ces trois variétés.

La durée de cycle végétative des variétés testées était très proche malgré qu'elles n'ont pas la même durée de cycle (V1 variété tardive tant que la V2 et V3 sont des variétés semi-précoces) dans leurs propres climats (humide) et cela est du à la forte influence de l'environnement (aridité de la zone d'étude).

Dans les conditions de cette compagne, les maladies sont très peu remarquées, par contre les insectes ravageurs sont largement observés et ont provoqué des dégâts très considérables surtout les pucerons cendrés qui touchent les fleurs et les siliques.

D'un point de vu rendement la V2 (Fantasio) donne le rendement le plus élevé 31 Qx/ha tant que les deux autres variétés n'ont pas dépassé les 20Qx/ha donc elle a plus d'intérêt de s'introduire.

De coté agronomique et en vu des résultats obtenus par cette étude il serai très intéressant de faire introduire ces trois variétés testées du colza et cela pour:

v' Ses bonnes résistances surtout aux maladies. (Peu de maladies avec des degrés de manifestation très faible et n'exigeant pas d'interventions)

v' ses rendements jugés acceptables en vue des conditions de la compagne et du manque de certaines traitements (mauvaises herbes) et fertilisations essentiels (potassique et sulfurique).

v' La faible durée de cycle de ces variétés donc elles libèrent le sol tôt pour la mise en place d'autres cultures.

Cette expérience nous amène à pensé qu'il convient de poursuivre le colza à en essai agronomique et technologique afin de confirmer les résultats obtenus pour déterminer définitivement les meilleures variétés dans les meilleurs conditions. Pour cela nous proposons les recommandations suivantes :

1' Faire introduire d'autres variétés notamment qui ont un cycle végétatif court (variétés de printemps).

1' Compléter le chois variétale par d'autres facteurs agronomiques (fertilisation, irrigation, travail du sol, maladies et ravageurs...).

1' Compléter les travaux agronomiques par des travaux technologiques quantitatifs et qualitatifs tels que la teneur, la qualité d'huile et de tourteau.



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